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L'Observatoire des droits humains à l'ONU
L'Observatoire des droits humains aux Nations Unies s'efforce de soutenir le développement des droits humains, d'innover l'enseignement juridique en comblant le fossé entre la théorie et la pratique, et d'autonomiser le public grâce à la démocratisation du savoir.
Pascale Fournier
Titulaire de l'Observatoire
« L’Observatoire offre une opportunité inédite de contribuer aux mécanismes internationaux de mise en œuvre des droits humains depuis les hautes instances des Nations Unies à Genève: s’abreuver du terrain, dresser des constats, poser les questions difficiles, co-construire, appartenir à quelque chose de plus grand que soi! Un leadership à la fois personnel et structurel s’y dessinera. Une grande aventure nous attend ! »
Ibrahim Salama
Directeur associé de l'Observatoire
« L'Observatoire innove par son approche proactive et holistique qui reflète l'interdépendance et l'indivisibilité de tous les droits de l'homme. Il permet aux jeunes d'apporter de nouvelles idées, car le monde a cruellement besoin d'une architecture des droits de l'homme renforcée grâce à des collaborations multisectorielles et multipartites ! »
PILOTES ET COLLABORATEURS
S'unir avec les Remarquables
L'honorable Nicholas Kasirer
L’honorable Nicholas Kasirer a obtenu un baccalauréat en droit civil et en common law de l’Université McGill en 1985, après avoir obtenu un baccalauréat en arts de l’Université de Toronto. En 1986, il a complété un Diplôme d’études approfondies (3e cycle) en droit international de l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Après avoir été auxiliaire juridique de l’honorable Jean Beetz à la Cour suprême du Canada, il a été admis au Barreau du Québec en 1987.
De 1989 à 2009, l’honorable Kasirer a été professeur à la Faculté de droit de l’Université McGill, où il a enseigné dans diverses spécialités, notamment le droit des obligations, le droit des biens, le droit de la famille et le droit successoral et testamentaire, en droit civil et en common law. Il a également été professeur invité dans plusieurs universités, y compris l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit de l’Université McGill de 2003 à 2009.
L’honorable Kasirer a été titulaire de la chaire James McGill de 2002 à 2009 et directeur du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé de 1996 à 2003. Il est l’auteur de plus d’une centaine de publications traitant de domaines variés, dont le droit civil, le droit comparé et la jurilinguistique.
Depuis 1990, l’honorable Kasirer est secrétaire et membre du comité de rédaction du Dictionnaire de droit privé / Private Law Dictionary à la Faculté de droit de l’Université McGill. Il fait partie du comité éditorial de la Revue du Notariat, de la Revue de droit de l’Université de Sherbrooke, du Journal of Civil Law Studies de la Louisiana State University, de l'ISAIDAT Law Review de Turin (Italie) et de la Revue internationale de droit comparé à Paris.
En 2009, il a été nommé juge à la Cour d’appel du Québec. Durant les dix dernières années, il a rendu un grand nombre de jugements dans des domaines divers, tels que le droit privé, le droit pénal et le droit public y compris le droit constitutionnel.
Depuis 2006, il est membre titulaire de l’Académie internationale de droit comparé (Paris). En 2012, l’Université de Sherbrooke lui a décerné un doctorat honorifique en droit. En 2008, il a été élu comme membre de la Société royale du Canada.
L’honorable Nicholas Kasirer a été nommé juge à la Cour suprême du Canada le 16 septembre 2019.
De 1989 à 2009, l’honorable Kasirer a été professeur à la Faculté de droit de l’Université McGill, où il a enseigné dans diverses spécialités, notamment le droit des obligations, le droit des biens, le droit de la famille et le droit successoral et testamentaire, en droit civil et en common law. Il a également été professeur invité dans plusieurs universités, y compris l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit de l’Université McGill de 2003 à 2009.
L’honorable Kasirer a été titulaire de la chaire James McGill de 2002 à 2009 et directeur du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé de 1996 à 2003. Il est l’auteur de plus d’une centaine de publications traitant de domaines variés, dont le droit civil, le droit comparé et la jurilinguistique.
Depuis 1990, l’honorable Kasirer est secrétaire et membre du comité de rédaction du Dictionnaire de droit privé / Private Law Dictionary à la Faculté de droit de l’Université McGill. Il fait partie du comité éditorial de la Revue du Notariat, de la Revue de droit de l’Université de Sherbrooke, du Journal of Civil Law Studies de la Louisiana State University, de l'ISAIDAT Law Review de Turin (Italie) et de la Revue internationale de droit comparé à Paris.
En 2009, il a été nommé juge à la Cour d’appel du Québec. Durant les dix dernières années, il a rendu un grand nombre de jugements dans des domaines divers, tels que le droit privé, le droit pénal et le droit public y compris le droit constitutionnel.
Depuis 2006, il est membre titulaire de l’Académie internationale de droit comparé (Paris). En 2012, l’Université de Sherbrooke lui a décerné un doctorat honorifique en droit. En 2008, il a été élu comme membre de la Société royale du Canada.
L’honorable Nicholas Kasirer a été nommé juge à la Cour suprême du Canada le 16 septembre 2019.
Hilary Pearson
Hilary Pearson est la chancelière de l’Université Brock. Elle a fait carrière pendant vingt ans dans le domaine de la philanthropie des fondations au Canada. En tant que présidente fondatrice de Fondations philanthropiques Canada (FPC), poste qu’elle a occupé pendant près de dix-huit ans, Hilary a collaboré avec bon nombre des plus grandes fondations de bienfaisance privées au Canada. De nombreuses fondations familiales ont pu compter sur ses conseils stratégiques et sur son aide pour comprendre le secteur, établir leurs objectifs, mettre en place leur structure de gouvernance et définir leurs pratiques d’octroi de dons.
Auteure de nombreux articles et comptes rendus sur la philanthropie des fondations, Mme Pearson est souvent invitée à donner des conférences et à animer des ateliers au Canada et ailleurs dans le monde. Dans le cadre de ses fonctions chez FPC, elle a publié des guides détaillés sur l’établissement et la gestion d’une fondation, ainsi que des guides à l’intention des fondations qui collaborent avec les gouvernements et les universités et qui participent à des actions de plaidoyer relatives aux politiques publiques.
Mme Pearson a une très bonne connaissance des politiques fédérales qui régissent les organismes de bienfaisance. Elle est coprésidente du Comité consultatif sur le secteur des organismes de la bienfaisance, qui conseille le gouvernement fédéral sur les questions relatives aux orientations et à la réglementation. De 2012 à 2015, elle a siégé au Comité consultatif du gouverneur général sur le bénévolat et la philanthropie. En juillet 2018, elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada en reconnaissance de sa contribution à l’essor du secteur de la philanthropie au Canada. Mme Pearson a siégé à de nombreux conseils d’administration d’organismes sans but lucratif nationaux, dont les suivants Imagine Canada, The Stratford Shakespeare Festival of Canada, CARE Canada, Inspire et la Société canadienne du cancer. Elle est présidente du Conseil consultatif de l’Institut Coady de l’Université St. Francis Xavier et est membre du Comité consultatif du programme de maîtrise en philanthropie et en gestion d’organismes sans but lucratif offert à l’Université Carleton. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en économie politique de l’Université de Toronto, Mme Pearson a aussi reçu des doctorats honoris causa de l’Université Carleton, l’Université du Nouveau-Brunswick et l’Université Mount Allison.
Auteure de nombreux articles et comptes rendus sur la philanthropie des fondations, Mme Pearson est souvent invitée à donner des conférences et à animer des ateliers au Canada et ailleurs dans le monde. Dans le cadre de ses fonctions chez FPC, elle a publié des guides détaillés sur l’établissement et la gestion d’une fondation, ainsi que des guides à l’intention des fondations qui collaborent avec les gouvernements et les universités et qui participent à des actions de plaidoyer relatives aux politiques publiques.
Mme Pearson a une très bonne connaissance des politiques fédérales qui régissent les organismes de bienfaisance. Elle est coprésidente du Comité consultatif sur le secteur des organismes de la bienfaisance, qui conseille le gouvernement fédéral sur les questions relatives aux orientations et à la réglementation. De 2012 à 2015, elle a siégé au Comité consultatif du gouverneur général sur le bénévolat et la philanthropie. En juillet 2018, elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada en reconnaissance de sa contribution à l’essor du secteur de la philanthropie au Canada. Mme Pearson a siégé à de nombreux conseils d’administration d’organismes sans but lucratif nationaux, dont les suivants Imagine Canada, The Stratford Shakespeare Festival of Canada, CARE Canada, Inspire et la Société canadienne du cancer. Elle est présidente du Conseil consultatif de l’Institut Coady de l’Université St. Francis Xavier et est membre du Comité consultatif du programme de maîtrise en philanthropie et en gestion d’organismes sans but lucratif offert à l’Université Carleton. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en économie politique de l’Université de Toronto, Mme Pearson a aussi reçu des doctorats honoris causa de l’Université Carleton, l’Université du Nouveau-Brunswick et l’Université Mount Allison.
Dr Philip Jaffé
Après un premier mandat de quatre ans (2019-2022) comme Membre du Comité des droits de l’enfant, le professeur Philip D. Jaffé a été réélu pour la période 2023-2027. Son parcours professionnel est relativement complexe puisqu’il a suivi des formations supérieures tant en Suisse (Genève et Fribourg) qu'aux États-Unis (New York et Boston). Pendant une trentaine d'années, il a enseigné à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève. En 2008, il est devenu directeur de l'Institut universitaire Kurt Bösch (IUKB) à Sion (Valais) et responsable de la nouvelle unité d'enseignement et de recherche sur les droits de l'enfant.
Pendant plusieurs années, son équipe et lui-même ont réussi à intégrer l'IUKB à l'Université de Genève qui, en 2015, a créé un nouveau Centre d'études des droits de l'enfant (CIDE). Dr. Jaffé maintient à Genève une petite pratique privée en psychologie clinique et en psychologie légale qu’il considère comme un carburant essentiel pour ses activités d'enseignement. En effet, il enseigne toujours la psychologie juridique à l'Université de Genève. À plusieurs reprises, il a eu le privilège d'être appelé à effectuer des missions humanitaires pour de grandes institutions gouvernementales internationales dans plusieurs régions troublées du monde, comme le Caucase, l'Irak ou la province d'Aceh en Indonésie.
Pendant plusieurs années, son équipe et lui-même ont réussi à intégrer l'IUKB à l'Université de Genève qui, en 2015, a créé un nouveau Centre d'études des droits de l'enfant (CIDE). Dr. Jaffé maintient à Genève une petite pratique privée en psychologie clinique et en psychologie légale qu’il considère comme un carburant essentiel pour ses activités d'enseignement. En effet, il enseigne toujours la psychologie juridique à l'Université de Genève. À plusieurs reprises, il a eu le privilège d'être appelé à effectuer des missions humanitaires pour de grandes institutions gouvernementales internationales dans plusieurs régions troublées du monde, comme le Caucase, l'Irak ou la province d'Aceh en Indonésie.
Dre Dawn Memee Lavell-Harvard
Dawn Lavell Harvard, Ph.D., est fière d'appartenir à la Première Nation Wiikwemkoong, à l'Île Manitoulin. Elle est Directrice du First Peoples House of Learning à l'Université de Trent et ancienne présidente de l'Association des femmes autochtones du Canada et de l’Association des femmes autochtones de l'Ontario (2004-2015). Par ses travaux savants et ses conférences au Canada et à l’international, Dr. Lavell-Harvard contribue à rompre le cycle de la pauvreté chez les femmes autochtones et leurs familles au moyen de réformes de l’enseignement adaptées aux réalités culturelles. Elle a obtenu de nombreuses distinctions honorifiques, dont le prix “Spirit of Barbara Schlifer” 2018 en reconnaissance de sa lutte acharnée contre les violences vécues par les femmes autochtones. Elle préside le conseil d’administration de NIWEE (National Indigenous Women Entrepreneurs’ Ecosystem) et siège comme membre du conseil d’administration de la Fondation canadienne des femmes.
L'honorable Simon Ruel
L’honorable Simon Ruel a été nommé juge à la Cour d'appel du Québec le 21 juin 2017 après avoir été juge à la Cour supérieure du Québec de 2014 à 2017. Au cours de sa carrière d’avocat, il a exercé principalement en droit public, administratif et des affaires gouvernementales. Après avoir entamé sa carrière au cabinet Grey Casgrain à Montréal, il a été avocat plaidant et conseiller juridique au ministère de la Justice du Canada, au Bureau du Conseil privé et au ministère des Finances du Canada à Ottawa. Avant sa nomination à la Cour supérieure, il était associé au cabinet BCF Avocats d’affaires à Québec et auparavant au cabinet national canadien Heenan Blaikie. L’honorable Ruel a participé en tant que procureur à plusieurs enquêtes publiques et règlementaires fédérales et provinciales et a enseigné le droit public et administratif à l’École du Barreau du Québec et le droit de la preuve à l’Université d’Ottawa.
Président du Comité de la magistrature sur la sécurité de l’information (« COMSI ») et de la Section des juges de l’Association du Barreau canadien, l’honorable Ruel est membre puîné du Comité sur l’indépendance judiciaire du Conseil canadien de la magistrature et co-président du sous-comité sur les médias sociaux du Conseil. Il a été, comme avocat, conseiller auprès du Conseil concernant la réforme du processus disciplinaire des juges de nomination fédérale et, à titre de membre du Comité sur l’indépendance, a participé à la révision des Principes de déontologie judiciaire pour les juges fédéraux, mis à jour en 2021. L’honorable Ruel s’intéresse également au droit international. En 2014, il a participé à une mission internationale d’évaluation des mesures anti-corruption prises par la République d’Haïti pour le compte de Transparency International/Haïti, en prévision de la révision de la mise en œuvre par Haïti de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Il anime « Sous le feu », une série de Balados préparés par l’Institut canadien d’administration de la justice et donnant la parole à des spécialistes du droit international, du droit de la guerre, du droit humanitaire et du droit pénal international.
Président du Comité de la magistrature sur la sécurité de l’information (« COMSI ») et de la Section des juges de l’Association du Barreau canadien, l’honorable Ruel est membre puîné du Comité sur l’indépendance judiciaire du Conseil canadien de la magistrature et co-président du sous-comité sur les médias sociaux du Conseil. Il a été, comme avocat, conseiller auprès du Conseil concernant la réforme du processus disciplinaire des juges de nomination fédérale et, à titre de membre du Comité sur l’indépendance, a participé à la révision des Principes de déontologie judiciaire pour les juges fédéraux, mis à jour en 2021. L’honorable Ruel s’intéresse également au droit international. En 2014, il a participé à une mission internationale d’évaluation des mesures anti-corruption prises par la République d’Haïti pour le compte de Transparency International/Haïti, en prévision de la révision de la mise en œuvre par Haïti de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Il anime « Sous le feu », une série de Balados préparés par l’Institut canadien d’administration de la justice et donnant la parole à des spécialistes du droit international, du droit de la guerre, du droit humanitaire et du droit pénal international.
Dre Bessma Momani
Dre Bessma Momani est vice-rectrice associée aux relations internationales à l’Université de Waterloo et professeure titulaire au Département de sciences politiques. Elle est chercheuse principale au Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale (CIGI), chercheuse non résidente au Arab Gulf States’ Institute de Washington (D.C.) et boursière Fulbright. Elle a été vice-rectrice adjointe par intérim aux relations internationales à l’Université de Waterloo et fellow de la Fondation Pierre Elliott Trudeau (2015), et a auparavant agi à titre de chercheuse principale non résidente à la Brookings Institution et au Stimson Center à Washington (D.C.), en plus d’être chercheuse invitée au Mortara Center de l’Université Georgetown.
Récipiendaire de nombreux prix et subventions de recherche, Dre Bessma Momani a travaillé en tant que consultante auprès du Fonds monétaire international, tant au Bureau des communications qu’au Bureau d’évaluation indépendant. En tant qu’analyste des médias et analyste politique sur le Moyen-Orient, les affaires internationales et l’économie mondiale, Dre Bessma Momani commente régulièrement l’actualité dans le Globe and Mail et le New York Times, dans les revues Time, Newsweek et The Economist ainsi que dans le National Post et le Toronto Star. En outre, elle collabore fréquemment avec les médias et a donné des milliers d’entrevues en direct sur CNN, CBC News, CTV, Al Jazeera, CGTN, TRT World et BNN Bloomberg.
Récipiendaire de nombreux prix et subventions de recherche, Dre Bessma Momani a travaillé en tant que consultante auprès du Fonds monétaire international, tant au Bureau des communications qu’au Bureau d’évaluation indépendant. En tant qu’analyste des médias et analyste politique sur le Moyen-Orient, les affaires internationales et l’économie mondiale, Dre Bessma Momani commente régulièrement l’actualité dans le Globe and Mail et le New York Times, dans les revues Time, Newsweek et The Economist ainsi que dans le National Post et le Toronto Star. En outre, elle collabore fréquemment avec les médias et a donné des milliers d’entrevues en direct sur CNN, CBC News, CTV, Al Jazeera, CGTN, TRT World et BNN Bloomberg.
L'Honorable Denis Paradis
Riche d’une expérience professionnelle et politique extrêmement prolifique, L’honorable Denis Paradis, C.P., Ad.E., a rejoint en 2006 le bureau Dunton Rainville en qualité d’avocat-conseil, où il exerce principalement dans les domaines administratif, corporatif et fiscal. Après avoir prêté serment au Barreau du Québec en 1976, l’honorable Paradis a exercé durant près de vingt ans au sein du cabinet Paradis et Associés, qu’il a également fondé. Durant cette période, l’honorable Paradis a aussi enseigné le droit agricole au Barreau du Québec. Élu vice-président du Barreau du Québec en 1992, puis Bâtonnier en 1993, l’honorable Paradis a, tout au long de sa carrière, constamment démontré la sincérité de son implication professionnelle ainsi que la volonté de défendre et promouvoir le rayonnement de la profession d’avocat.
L’implication de l’honorable Paradis s’est tout naturellement également révélée dans la sphère politique. Tout d’abord à un niveau local, l’honorable Paradis a été Député de Brome-Missisquoi au Parlement du Canada, puis à l’échelon national, il a eu la charge de trois portefeuilles ministériels entre 2002 et 2004, soit le Ministère d’État Amérique Latine et Afrique, le Ministère de la Francophonie ainsi que le Ministère d’État aux Institutions Financières. Résolument orienté vers l’international, Me Paradis a notamment fondé en 2008 l’Alliance d’Affaires Canada-Algérie et en est aujourd’hui le président. Il a également œuvré pour la Banque Interaméricaine de développement et la Banque Mondiale et a préparé le Sommet des chefs d’État de la Francophonie à Beyrouth.
L’implication de l’honorable Paradis s’est tout naturellement également révélée dans la sphère politique. Tout d’abord à un niveau local, l’honorable Paradis a été Député de Brome-Missisquoi au Parlement du Canada, puis à l’échelon national, il a eu la charge de trois portefeuilles ministériels entre 2002 et 2004, soit le Ministère d’État Amérique Latine et Afrique, le Ministère de la Francophonie ainsi que le Ministère d’État aux Institutions Financières. Résolument orienté vers l’international, Me Paradis a notamment fondé en 2008 l’Alliance d’Affaires Canada-Algérie et en est aujourd’hui le président. Il a également œuvré pour la Banque Interaméricaine de développement et la Banque Mondiale et a préparé le Sommet des chefs d’État de la Francophonie à Beyrouth.
Orlando Arriagada
Arrivé au Québec dans les années 90, Orlando Arriagada fait rapidement sa marque dans l’industrie télévisuelle à titre de producteur et d’homme d’affaires. En 1996, il fonde sa première compagnie, Al Dente Films, suivi de Tutti Frutti Films en 2003, qu’il vendra à FRV Média. En 2007, Pimiento voit le jour et a produit depuis près d’une trentaine de documentaires uniques et séries documentaires diffusées sur les ondes de Canal D, APTN, Ici Radio-Canada et Canal vie, pour ne nommer qu’eux, en plus de nombreuses créations pour les nouveaux médias. Comme réalisateur, on doit notamment à Orlando les documentaires Derrière le miracle, Miss inc., Au pif, la série Amérikologie, L’ADN du ceviche, sélectionné au 63e Festival international de San Sebastian dans la catégorie «Culinary Zinema» , La bataille de Nancy, et en 2021, la série voir la musique autrement et sa toute dernière production, le documentaire unique intitulé "La purge, LGBT, la sombre histoire" (diffusées le 16 septembre 2023 sur ICI Première) et qui a attiré toutes les attentions et qui a suscité un intérêt médiatique important.
Au fil des ans, il s’est impliqué dans plusieurs organismes, dont la Chambre de commerce latino-américaine du Québec et l’Association des producteurs de films et de télévision du Québec. Orlando Arriagada s’implique également pour la relève du cinéma et de la télévision, ayant entre autres créé la bourse d’études Pimiento permettant de couvrir les frais de scolarité de certains de ses employés, admis à L’inis. Il collabore également à de nombreuses reprises avec des festivals et organismes du milieu du cinéma et de la télévision, dont récemment avec Fantasia et le Festival du film black de Montréal. De 2019 à 2023, Orlando a opéré en tant que Professeur et Directeur du Master documentaire et du Lab de création documentaire à l'ESCAC (École supérieure du cinéma de Catalogne) à Barcelone.
Au fil des ans, il s’est impliqué dans plusieurs organismes, dont la Chambre de commerce latino-américaine du Québec et l’Association des producteurs de films et de télévision du Québec. Orlando Arriagada s’implique également pour la relève du cinéma et de la télévision, ayant entre autres créé la bourse d’études Pimiento permettant de couvrir les frais de scolarité de certains de ses employés, admis à L’inis. Il collabore également à de nombreuses reprises avec des festivals et organismes du milieu du cinéma et de la télévision, dont récemment avec Fantasia et le Festival du film black de Montréal. De 2019 à 2023, Orlando a opéré en tant que Professeur et Directeur du Master documentaire et du Lab de création documentaire à l'ESCAC (École supérieure du cinéma de Catalogne) à Barcelone.
Myrlande Pierre
Mme Myrlande Pierre est vice-présidente de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. Elle est notamment responsable du mandat confié à la Commission par la Charte des droits et libertés de la personne et la Loi sur l’accès à l’égalité en emploi dans des organismes publics. Mme Pierre est une experte reconnue à l’échelle nationale et internationale dans le domaine de l’immigration et de l’intégration socioéconomique et plus particulièrement de l’intégration socioéconomique des minorités racisées. Les questions de racisme et de discrimination systémiques, ainsi que les enjeux touchant les femmes des minorités ethnoculturelles et racisées constituent la pierre angulaire de ses travaux.
Sociologue de formation, sa carrière est également marquée par son engagement social. À cet égard, Mme Pierre fut nommée présidente de la Table sur la diversité, l’inclusion et la lutte contre les discriminations par la Mairesse de Montréal (mars 2018 à juin 2019). Elle a été membre d’un comité d’experts sur les communautés noires du Canada à Statistique Canada (2018 – 2019)· Ce comité a été appelé à définir des orientations et politiques relativement à la réalité et enjeux socioéconomiques des communautés noires du Québec et du Canada. Myrlande Pierre a obtenu plusieurs prix pour son implication à l’avancement des droits des femmes et des minorités racisées. Elle a notamment reçu en 2018, la Médaille de l’Assemblée nationale. Plus récemment, elle a reçu le Prix Opale Diversité (2020). En 2001, Mme Pierre reçoit le Prix Femme, politique et société pour son engagement communautaire et sa contribution à faire avancer les questions de participation et de représentation des femmes des minorités racisées dans les structures institutionnelles et démocratiques.
Sociologue de formation, sa carrière est également marquée par son engagement social. À cet égard, Mme Pierre fut nommée présidente de la Table sur la diversité, l’inclusion et la lutte contre les discriminations par la Mairesse de Montréal (mars 2018 à juin 2019). Elle a été membre d’un comité d’experts sur les communautés noires du Canada à Statistique Canada (2018 – 2019)· Ce comité a été appelé à définir des orientations et politiques relativement à la réalité et enjeux socioéconomiques des communautés noires du Québec et du Canada. Myrlande Pierre a obtenu plusieurs prix pour son implication à l’avancement des droits des femmes et des minorités racisées. Elle a notamment reçu en 2018, la Médaille de l’Assemblée nationale. Plus récemment, elle a reçu le Prix Opale Diversité (2020). En 2001, Mme Pierre reçoit le Prix Femme, politique et société pour son engagement communautaire et sa contribution à faire avancer les questions de participation et de représentation des femmes des minorités racisées dans les structures institutionnelles et démocratiques.
Dr Bernard Motulsky
Détenteur d’une maîtrise et d’un doctorat (Ph.D.) en philosophie, Dr. Bernard Motulsky est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les communications. Il possède une expérience de plus de trente ans dans le domaine de la communication et des relations publiques. Actuellement professeur au département de communication sociale et publique de l’UQAM, il a débuté sa carrière comme rédacteur et journaliste avant de devenir professeur de communication à l’Université Laval. Il a occupé par la suite plusieurs postes, en particulier au sein du Groupe Cossette, au gouvernement du Québec, à la Bourse de Montréal et à l’Université de Montréal. Il a été président du Conseil consultatif de régie administrative de l’Autorité des marchés financiers du Québec (AMF) entre 2005 et 2015 et président de la Société québécoise des professionnels en relations publiques (SQPRP) de 2014 à 2016.
Il est détenteur de plusieurs prix, dont la plus haute distinction de la Société québécoise des professionnels en relations publiques, le prix Yves St-Amand décerné en 2024. Souvent appelé à commenter l’actualité dans les médias, il est vice-président fondateur de l’Académie des controverses et de la communication sensible, basée à Paris. Il s’intéresse également aux enjeux de la migration et de l’identité et a publié en 2023 un livre sur la quête qu’il a menée sur son histoire familiale à travers les tourments de l’histoire.
Il est détenteur de plusieurs prix, dont la plus haute distinction de la Société québécoise des professionnels en relations publiques, le prix Yves St-Amand décerné en 2024. Souvent appelé à commenter l’actualité dans les médias, il est vice-président fondateur de l’Académie des controverses et de la communication sensible, basée à Paris. Il s’intéresse également aux enjeux de la migration et de l’identité et a publié en 2023 un livre sur la quête qu’il a menée sur son histoire familiale à travers les tourments de l’histoire.
Richard Thompson Ford
Professeur à la faculté de droit de l’Université Stanford, Richard T. Ford est un spécialiste des droits civils et du droit sur l’antidiscrimination. Il a acquis la réputation d’être une voix éclairée et un auteur percutant sur les questions de racisme et de multiculturalisme. Alliant critique sociale et analyse juridique, ses travaux portent sur les conflits sociaux et juridiques liés aux plaintes pour discrimination, les causes et les effets de la ségrégation raciale ainsi que l’utilisation des frontières territoriales comme instruments de régulation sociale.
Il publie tant pour les amateur.rice.s de lecture populaire que pour les universitaires et les juristes. Il a écrit pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle, le Christian Science Monitor, Vox, New York Daily News, Slate et a été chroniqueur pour The American Interest. Son plus récent livre, Dress Codes: How the Laws of Fashion Made History, a été traduit en cinq langues et a été sélectionné comme “Editor’s Choice Ted Talk” en 2021. Deux autres de ses livres, Rights Gone Wrong: How Law Corrupts the Struggle for Equality et The Race Card: How Bluffing About Bias Makes Race Relations Worse, ont été primés comme “livres marquants de l’année” par le New York Times. Il est aussi l’auteur des livres Racial Card: A Critique et Universal Rights Down to Earth. Richard T. Ford est membre de l’American Law Institute, membre fondateur de l’Academic Freedom Alliance et membre du conseil d’administration de l’Author’s Guild Foundation. Il a été professeur invité à l’Université Harvard, à l’Université Columbia, à l’Université Yale et a dispensé des formations dans 12 pays parmi 5 continents.
Il publie tant pour les amateur.rice.s de lecture populaire que pour les universitaires et les juristes. Il a écrit pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle, le Christian Science Monitor, Vox, New York Daily News, Slate et a été chroniqueur pour The American Interest. Son plus récent livre, Dress Codes: How the Laws of Fashion Made History, a été traduit en cinq langues et a été sélectionné comme “Editor’s Choice Ted Talk” en 2021. Deux autres de ses livres, Rights Gone Wrong: How Law Corrupts the Struggle for Equality et The Race Card: How Bluffing About Bias Makes Race Relations Worse, ont été primés comme “livres marquants de l’année” par le New York Times. Il est aussi l’auteur des livres Racial Card: A Critique et Universal Rights Down to Earth. Richard T. Ford est membre de l’American Law Institute, membre fondateur de l’Academic Freedom Alliance et membre du conseil d’administration de l’Author’s Guild Foundation. Il a été professeur invité à l’Université Harvard, à l’Université Columbia, à l’Université Yale et a dispensé des formations dans 12 pays parmi 5 continents.
Nadja Pollaert
Directrice générale de Médecins du Monde Canada depuis 2014, Nadja Pollaert a assumé divers postes de responsabilités et peut témoigner de plusieurs réalisations notables. En effet, elle a dirigé le Bureau international des droits des enfants, une organisation internationale non gouvernementale ayant un statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations Unies. Chevronnée en matière de droits et de protection de l’enfant, elle a initié et mené des projets avec de multiples donateurs et partenaires dans plus d’une quinzaine de pays en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique centrale. Co-présidence du Réseau d’intervention humanitaire du Canada (HRN) de 2018-2020, Nadja Pollaert a été nommée au Conseil d’orientation du Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM) en 2009.
Par ailleurs, elle a coordonné pendant plusieurs années le Comité d’aide aux réfugiés, une organisation de défense des droits pour les demandeurs d’asile et les réfugiés du Canada. Décidée à contribuer à la défense des droits de la personne, elle s’est engagée dans plusieurs organisations à titre d’administratrice et de bénévole, dont la Maison Buissonnière, un organisme voué au développement social des enfants, la Coalition canadienne des droits de l’enfant, Paix durable et Amnistie internationale – section francophone. Politologue de formation, elle est diplômée en relations internationales de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP). Nadja détient également une maîtrise en relations internationales de l’Université de Montréal.
Par ailleurs, elle a coordonné pendant plusieurs années le Comité d’aide aux réfugiés, une organisation de défense des droits pour les demandeurs d’asile et les réfugiés du Canada. Décidée à contribuer à la défense des droits de la personne, elle s’est engagée dans plusieurs organisations à titre d’administratrice et de bénévole, dont la Maison Buissonnière, un organisme voué au développement social des enfants, la Coalition canadienne des droits de l’enfant, Paix durable et Amnistie internationale – section francophone. Politologue de formation, elle est diplômée en relations internationales de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP). Nadja détient également une maîtrise en relations internationales de l’Université de Montréal.
Jose Andres Egas Loaiza
M. Egas est le représentant du bureau multi-pays du HCR (l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés) à Panama. Il a rejoint le HCR il y a près de 20 ans à Luanda, en Angola. Depuis, il a travaillé pour le HCR dans plus d'une douzaine de bureaux dans plusieurs pays, dont l'Angola, le Brésil, la Colombie, le Myanmar, l'Iran, la Grèce et le Panama, ainsi qu'au siège du HCR à Genève. M. Egas a occupé divers postes, notamment celui de chef de divers bureaux locaux, de responsable des programmes et de la planification, de l'administration et des ressources humaines, ainsi que de la protection des réfugiés et des personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays. Il a participé aux processus de retour et de rapatriement, à la gestion de plusieurs situations d'urgence, à la coordination et à la représentation du HCR dans les processus interinstitutionnels des Nations unies et a travaillé dans la section des donateurs privés du HCR.
Avant d’arriver au Panama, M. Egas était directeur du programme de transformation de l'organisation (BTP) au siège du HCR à Genève et, auparavant, il était représentant du HCR au Brésil. M. Egas est citoyen équatorien et brésilien, marié et père de deux enfants. M. Egas est titulaire d'une licence en sociologie du développement de l'Université San Francisco de Quito/Equateur et du Kalamazoo College/USA et d'un master en études du développement de l'Institut d'études sociales de La Haye/Pays-Bas. Il parle anglais, espagnol et portugais.
Avant d’arriver au Panama, M. Egas était directeur du programme de transformation de l'organisation (BTP) au siège du HCR à Genève et, auparavant, il était représentant du HCR au Brésil. M. Egas est citoyen équatorien et brésilien, marié et père de deux enfants. M. Egas est titulaire d'une licence en sociologie du développement de l'Université San Francisco de Quito/Equateur et du Kalamazoo College/USA et d'un master en études du développement de l'Institut d'études sociales de La Haye/Pays-Bas. Il parle anglais, espagnol et portugais.
Agnès Gruda
Diplômée en Communications de l’université Concordia, Agnès Gruda a travaillé pendant 35 ans comme journaliste à La Presse où elle a oeuvré notamment comme éditorialiste, adjointe à la direction de l’information, reporter et chroniqueuse internationale. Elle a réalisé des reportages dans plus d’une trentaine de pays, incluant des zones de conflits telles que l’ex-Yougoslavie, le Proche-Orient, l’Ukraine et la Libye. Elle s’est intéressée particulièrement au conflit israélo-palestinien, aux mouvements migratoires et aux printemps arabes.
Cette expertise l'a amenée à rédiger une chronique internationale à Radio-Canada et à enseigner le journalisme international à l'Université de Montréal. Elle est membre du conseil d'administration du Centre d'études sur les médias et membre du jury du Fonds québécois de journalisme international.
Parallèlement à sa carrière de journaliste, elle a publié deux recueils de nouvelles, Onze petites trahisons, en 2010 (Prix Adrienne-Choquette et finaliste au Prix du Gouverneur général) et Mourir mais pas trop, en 2016.
Cette expertise l'a amenée à rédiger une chronique internationale à Radio-Canada et à enseigner le journalisme international à l'Université de Montréal. Elle est membre du conseil d'administration du Centre d'études sur les médias et membre du jury du Fonds québécois de journalisme international.
Parallèlement à sa carrière de journaliste, elle a publié deux recueils de nouvelles, Onze petites trahisons, en 2010 (Prix Adrienne-Choquette et finaliste au Prix du Gouverneur général) et Mourir mais pas trop, en 2016.
Karina Montminy
Avocate en droits de la personne, détentrice d’un diplôme d’études approfondies en droit international public de l’Université de Montpellier, en France, Me Karina Montminy a débuté sa pratique en droit au Guatemala, dans une ONG vouée à la défense des droits de la personne, notamment des personnes autochtones victimes de violations de leurs droits lors de la guerre civile. Elle a ensuite occupé un poste de chargée de projets à la Direction de la gestion et du règlement des litiges au ministère des Affaires indiennes et Nord canadien, où elle était responsable des litiges au Québec.
Désirant contribuer activement à l’avancement des droits et libertés de la personne au Québec, Me Montminy a joint la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec. Elle a d’abord agi à titre de représentante régionale et d’enquêtrice, notamment en milieu autochtone. Depuis 20 ans, Me Montminy est conseillère juridique à la Direction de la recherche, une équipe interdisciplinaire composée de juristes et de sociologues. À travers les nombreux travaux réalisés au fil des ans, dont des mémoires, déclarations, positions publiques, présentations et publications, elle s’est investie à faire valoir, les droits des enfants, des femmes, des personnes autochtones ainsi que ceux des personnes en situation de handicap.
Désirant contribuer activement à l’avancement des droits et libertés de la personne au Québec, Me Montminy a joint la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec. Elle a d’abord agi à titre de représentante régionale et d’enquêtrice, notamment en milieu autochtone. Depuis 20 ans, Me Montminy est conseillère juridique à la Direction de la recherche, une équipe interdisciplinaire composée de juristes et de sociologues. À travers les nombreux travaux réalisés au fil des ans, dont des mémoires, déclarations, positions publiques, présentations et publications, elle s’est investie à faire valoir, les droits des enfants, des femmes, des personnes autochtones ainsi que ceux des personnes en situation de handicap.
Dr Yacouba Cissé
Dr Yacouba Cissé est actuellement membre de la Commission de Droit International des Nations Unies, Ambassadeur de la République de Côte d’Ivoire près la République d’Autriche et Représentant Permanent de Côte d’Ivoire auprès de l’Office des Nations Unies et des autres Organisations Internationales à Vienne. Il est expert en droit international de la délimitation des frontières maritimes et autres questions sur le droit de la mer avec de nombreuses publications à son actif dans ce domaine. Il a obtenu une licence et un master en Droit Public International à l’Université d’Abidjan (Côte d’Ivoire). Parmi ses diplômes, il a également obtenu un master en science et gestion des Affaires maritimes de l’Université du Québec à Rimouski et un doctorat en Droit de l’Université d’Ottawa (Canada) avec félicitations du Jury et obtention du prix du barreau de Paris.
Dr. CISSE est avocat au barreau d’Abidjan et fut Directeur de la Fonction publique internationale au Ministère des Affaires Etrangères de Côte d’Ivoire.
En sa qualité de membre de la Commission du Droit International des Nations Unies, il est membre du Groupe d’études établi par cette Commission pour traiter les questions de la hausse du niveau de la mer et son implication en matière de Droit International. Il est le Rapporteur Spécial sur le sujet « Prévention et répression de la piraterie maritime et vol à main armée en mer ». Ce sujet fait partie du programme à long terme de la Commission et a reçu un large soutien des délégués présents à la Sixième Commission de l’Assemblée Générale des Nations Unies à New York.
Il assure actuellement la présidence du Groupe des Ambassadeurs Francophones (GAF) accrédités à Vienne, en Autriche.
Dr. CISSE est avocat au barreau d’Abidjan et fut Directeur de la Fonction publique internationale au Ministère des Affaires Etrangères de Côte d’Ivoire.
En sa qualité de membre de la Commission du Droit International des Nations Unies, il est membre du Groupe d’études établi par cette Commission pour traiter les questions de la hausse du niveau de la mer et son implication en matière de Droit International. Il est le Rapporteur Spécial sur le sujet « Prévention et répression de la piraterie maritime et vol à main armée en mer ». Ce sujet fait partie du programme à long terme de la Commission et a reçu un large soutien des délégués présents à la Sixième Commission de l’Assemblée Générale des Nations Unies à New York.
Il assure actuellement la présidence du Groupe des Ambassadeurs Francophones (GAF) accrédités à Vienne, en Autriche.
Dre Prativa Baral
Dre Prativa Baral est épidémiologiste et associée de recherche à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. Elle travaille à l'intersection de la politique mondiale de santé et du plaidoyer, tout en étudiant les risques d'urgences sanitaires, les systèmes de surveillance et d'alerte précoce, ainsi que la résilience des systèmes de santé, en particulier en temps de crise. Elle est également cofondatrice de Let Science Connect, une société de conseil en formation à la communication scientifique destinée aux chercheurs et aux experts.
Au cours des dernières années, elle a collaboré et consulté pour OpenAI, les Nations Unies, la Fondation Bill & Melinda Gates, la Banque mondiale, le Global Pandemic Monitoring Board, la Task Force canadienne sur la COVID-19, et bien d'autres encore, contribuant à la recherche et à la réponse politique à la pandémie de COVID-19 tant au niveau national qu'international. Elle est également apparue régulièrement dans les médias canadiens pendant la pandémie, fournissant des conseils pratiques et experts aux Canadiens concernant la COVID-19.
Dre Baral est une conférencière recherchée et une panéliste experte, contribuant fréquemment à des réunions nationales et internationales majeures, y compris à la réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos. Plus récemment, elle a dirigé le secrétariat du panel d'experts convoqué par la Société royale du Canada et l'Académie canadienne des sciences de la santé pour définir le rôle du Canada dans la santé mondiale. Auparavant, elle a joué un rôle clé dans la rédaction du cadre d'action sur la recherche en santé mondiale des Instituts de recherche en santé du Canada.
Dre Prativa Baral est titulaire d'un doctorat de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, d'une maîtrise en santé publique en épidémiologie de l'Université Columbia et d'un baccalauréat en sciences de l'Université McGill. Elle est lauréate d'une bourse de la Fondation Pierre Elliott Trudeau et du Prix des étudiants étrangers de doctorat des Instituts de recherche en santé du Canada. Prativa, qui parle couramment le français, l'anglais et le népalais, est une ancienne joueuse d'échecs classée au niveau national.
Au cours des dernières années, elle a collaboré et consulté pour OpenAI, les Nations Unies, la Fondation Bill & Melinda Gates, la Banque mondiale, le Global Pandemic Monitoring Board, la Task Force canadienne sur la COVID-19, et bien d'autres encore, contribuant à la recherche et à la réponse politique à la pandémie de COVID-19 tant au niveau national qu'international. Elle est également apparue régulièrement dans les médias canadiens pendant la pandémie, fournissant des conseils pratiques et experts aux Canadiens concernant la COVID-19.
Dre Baral est une conférencière recherchée et une panéliste experte, contribuant fréquemment à des réunions nationales et internationales majeures, y compris à la réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos. Plus récemment, elle a dirigé le secrétariat du panel d'experts convoqué par la Société royale du Canada et l'Académie canadienne des sciences de la santé pour définir le rôle du Canada dans la santé mondiale. Auparavant, elle a joué un rôle clé dans la rédaction du cadre d'action sur la recherche en santé mondiale des Instituts de recherche en santé du Canada.
Dre Prativa Baral est titulaire d'un doctorat de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, d'une maîtrise en santé publique en épidémiologie de l'Université Columbia et d'un baccalauréat en sciences de l'Université McGill. Elle est lauréate d'une bourse de la Fondation Pierre Elliott Trudeau et du Prix des étudiants étrangers de doctorat des Instituts de recherche en santé du Canada. Prativa, qui parle couramment le français, l'anglais et le népalais, est une ancienne joueuse d'échecs classée au niveau national.
Dre Jasmine Mah
Dre Jasmine Mah est une médecin résidente spécialisée auprès des personnes âgées en médecine gériatrique. Elle travaille à l'intersection de la médecine, de la recherche et de la politique en proposant des solutions pour que les personnes puissent vivre, vieillir et recevoir des soins de santé avec dignité dans les maisons de leur choix, même face à des circonstances qui limitent leur autonomie. Elle s'est engagée à traduire les résultats cliniques et de recherche en médecine en changements systémiques, tant au Canada qu'à l'étranger. Les recherches actuelles de la Dr Mah portent sur l'impact de la fragilité et de la vulnérabilité sociale sur les résultats cliniques et l'utilisation des ressources de santé chez les personnes âgées en Nouvelle-Écosse. Pour appliquer ses connaissances, elle explore également des solutions potentielles pour améliorer le processus d'admission des personnes socialement vulnérables dans les hôpitaux.
Dre Mah est consciente des défis que représente le rapprochement de la théorie et de la pratique. Pour aider ses collègues à rendre leurs travaux plus accessibles, elle a cofondé Let Science Connect, qui offre aux équipes de recherche un soutien et des ateliers sur la communication scientifique. En dehors du Canada, Mme Mah a contribué à l'élaboration d'un plan national sur le don et la transplantation d'organes en Grèce. Le projet, présenté au Premier ministre Kyriakos Mitsotakis en juillet 2021, continue de contribuer à des améliorations significatives de l'infrastructure de transplantation en Grèce.
Dre Mah a obtenu son diplôme de médecine à l'Université d'Ottawa, une maîtrise en sciences à la London School of Economics et à la London School of Hygiene and Tropical Medicine, et un doctorat à l'Université Dalhousie. Elle est une jeune leader de l'Association médicale canadienne et a reçu le prix Learner Changemaker Award de l'Association des facultés de médecine.
Dre Mah est consciente des défis que représente le rapprochement de la théorie et de la pratique. Pour aider ses collègues à rendre leurs travaux plus accessibles, elle a cofondé Let Science Connect, qui offre aux équipes de recherche un soutien et des ateliers sur la communication scientifique. En dehors du Canada, Mme Mah a contribué à l'élaboration d'un plan national sur le don et la transplantation d'organes en Grèce. Le projet, présenté au Premier ministre Kyriakos Mitsotakis en juillet 2021, continue de contribuer à des améliorations significatives de l'infrastructure de transplantation en Grèce.
Dre Mah a obtenu son diplôme de médecine à l'Université d'Ottawa, une maîtrise en sciences à la London School of Economics et à la London School of Hygiene and Tropical Medicine, et un doctorat à l'Université Dalhousie. Elle est une jeune leader de l'Association médicale canadienne et a reçu le prix Learner Changemaker Award de l'Association des facultés de médecine.
Éloge Butera
Éloge est actuellement directeur du Centre d'excellence sur les enfants, la paix et la sécurité de l'Institut Dallaire, basé au Rwanda. Il dirige une équipe qui fait la promotion de la protection des enfants et travaille à mettre fin au recrutement et à l'utilisation d'enfants comme soldats dans le monde entier.
Diplômé en droit de l'Université McGill, M. Éloge a mené une brillante carrière dans le domaine des droits de l'homme et des politiques publiques. Au cours de la dernière décennie, il a été le principal conseiller de certains des plus éminents parlementaires canadiens, dont l'honorable professeur Irwin Cotler, ancien ministre de la Justice et procureur général du Canada, et le lieutenant général Roméo Dallaire (Rtd), ancien sénateur et commandant des forces de l'ONU au Rwanda pendant le génocide de 1994 contre les Tutsi au Rwanda, ainsi que l'honorable Ralph Goodale, ancien ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile. Survivant du génocide de 1994 contre les Tutsi au Rwanda, Éloge défend inlassablement la prévention des atrocités de masse et des génocides dans le monde entier, ainsi que l'obligation d'en rendre compte. Il a parlé à des dizaines de personnes de tous âges de son expérience au Rwanda et du rôle important que les citoyens engagés peuvent jouer dans la prévention d'autres génocides à notre époque. En 2013, Éloge a été intronisé témoin honoraire de la Commission de vérité et de réconciliation du Canada, créée en 2008 pour documenter l'histoire et les effets durables du système canadien des pensionnats indiens sur les élèves autochtones et leurs familles, et pour sensibiliser les Canadiens à l'héritage dévastateur de cette politique d'assimilation brutale. Avec Robbie Wiseman, survivant de l'Holocauste et témoin honoraire, il a joué le rôle de "survivant solidaire" des survivants des pensionnats et de leurs descendants. Il a été fier de faire progresser le travail de la Commission auprès du public et a été le fer de lance d'un effort de la société civile pour mettre en œuvre certains des 94 appels à l'action de la Commission. Lorsqu'il n'est pas au Rwanda, Éloge vit près d'une belle rivière, juste à côté d'Ottawa, au Canada, avec son aimante et brillante compagne et leurs deux jeunes et actifs enfants.
Diplômé en droit de l'Université McGill, M. Éloge a mené une brillante carrière dans le domaine des droits de l'homme et des politiques publiques. Au cours de la dernière décennie, il a été le principal conseiller de certains des plus éminents parlementaires canadiens, dont l'honorable professeur Irwin Cotler, ancien ministre de la Justice et procureur général du Canada, et le lieutenant général Roméo Dallaire (Rtd), ancien sénateur et commandant des forces de l'ONU au Rwanda pendant le génocide de 1994 contre les Tutsi au Rwanda, ainsi que l'honorable Ralph Goodale, ancien ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile. Survivant du génocide de 1994 contre les Tutsi au Rwanda, Éloge défend inlassablement la prévention des atrocités de masse et des génocides dans le monde entier, ainsi que l'obligation d'en rendre compte. Il a parlé à des dizaines de personnes de tous âges de son expérience au Rwanda et du rôle important que les citoyens engagés peuvent jouer dans la prévention d'autres génocides à notre époque. En 2013, Éloge a été intronisé témoin honoraire de la Commission de vérité et de réconciliation du Canada, créée en 2008 pour documenter l'histoire et les effets durables du système canadien des pensionnats indiens sur les élèves autochtones et leurs familles, et pour sensibiliser les Canadiens à l'héritage dévastateur de cette politique d'assimilation brutale. Avec Robbie Wiseman, survivant de l'Holocauste et témoin honoraire, il a joué le rôle de "survivant solidaire" des survivants des pensionnats et de leurs descendants. Il a été fier de faire progresser le travail de la Commission auprès du public et a été le fer de lance d'un effort de la société civile pour mettre en œuvre certains des 94 appels à l'action de la Commission. Lorsqu'il n'est pas au Rwanda, Éloge vit près d'une belle rivière, juste à côté d'Ottawa, au Canada, avec son aimante et brillante compagne et leurs deux jeunes et actifs enfants.
Ariane Rémy Quevedo
Ariane Rémy-Quevedo est une avocate expérimentée basée à Montréal, dont le parcours diversifié témoigne d'une expertise juridique approfondie et d'une capacité à naviguer dans des environnements multiculturels. Trilingue, elle maîtrise le français, l'anglais et l'espagnol, ce qui lui permet de communiquer et de collaborer efficacement dans des contextes variés.
En 2018, Ariane a obtenu sa Licence en droit civil à l'Université d'Ottawa, où elle s'est distinguée en tant qu'assistante à la recherche et à l'enseignement. En tant que coordonnatrice de la Chaire de recherche sur le pluralisme juridique et le droit comparé, sous la direction de la Professeure Pascale Fournier, elle a mené des recherches approfondies sur le droit international et les principes généraux du droit, renforçant ainsi son engagement envers l'avancement des connaissances juridiques. Son implication dans l'étude des systèmes juridiques de l'Amérique latine a enrichi sa compréhension des enjeux globaux en matière de droit international.
Ariane a débuté sa carrière d'avocate chez Dionne Avocats Inc. et Le Palier Juridique, où elle a acquis une solide expérience en droit de la famille. Depuis octobre 2023, elle occupe le poste d'avocate en droit du travail et de l'emploi au CISSS de Laval. Dans ce rôle, elle met à profit son expertise pour gérer des dossiers complexes dans le secteur de la santé publique, en apportant des solutions juridiques stratégiques et adaptées aux besoins de l'organisation.
Le parcours d'Ariane se distingue par une excellence académique, une rigueur professionnelle, et des compétences multilingues qui font d'elle une avocate polyvalente et accomplie.
En 2018, Ariane a obtenu sa Licence en droit civil à l'Université d'Ottawa, où elle s'est distinguée en tant qu'assistante à la recherche et à l'enseignement. En tant que coordonnatrice de la Chaire de recherche sur le pluralisme juridique et le droit comparé, sous la direction de la Professeure Pascale Fournier, elle a mené des recherches approfondies sur le droit international et les principes généraux du droit, renforçant ainsi son engagement envers l'avancement des connaissances juridiques. Son implication dans l'étude des systèmes juridiques de l'Amérique latine a enrichi sa compréhension des enjeux globaux en matière de droit international.
Ariane a débuté sa carrière d'avocate chez Dionne Avocats Inc. et Le Palier Juridique, où elle a acquis une solide expérience en droit de la famille. Depuis octobre 2023, elle occupe le poste d'avocate en droit du travail et de l'emploi au CISSS de Laval. Dans ce rôle, elle met à profit son expertise pour gérer des dossiers complexes dans le secteur de la santé publique, en apportant des solutions juridiques stratégiques et adaptées aux besoins de l'organisation.
Le parcours d'Ariane se distingue par une excellence académique, une rigueur professionnelle, et des compétences multilingues qui font d'elle une avocate polyvalente et accomplie.
Raphaël Grenier-Benoit
Raphaël Grenier-Benoit, un collaborateur au sein de l'Observatoire des droits humain à l'ONU, est un étudiant au doctorat à la faculté de droit de l’Université d’Oxford, où il mène ses recherches sous la supervision du professeur Richard Ekins. Fasciné par les enjeux qui se trouvent à l’intersection entre le droit, la politique et la morale, il concentre sa recherche sur l’interprétation constitutionnelle et le rôle que le système judiciaire peut jouer dans l’harmonisation des lois avec les changements sociaux. Avant de poursuivre ses études en droit, Raphaël a travaillé dans les médias pendant près de dix ans, notamment comme acteur dans la série de Radio-Canada Les Parents. Il a aussi co-développé et animé une série documentaire, qui met en lumière la participation communautaire des jeunes francophones. À la suite de ces expériences, il a obtenu son baccalauréat en droit civil et en common law à l’Université McGill, ainsi qu’une maîtrise de philosophie du droit (avec distinction) à l’Université d’Oxford. Pendant ses études à McGill, il a occupé les postes de directeur de la rédaction pour la Revue de droit de McGill, d’auxiliaire juridique pour le juge Jean-Pierre Archambault et d’assistant de recherche pour le professeur Mark D. Walters. En plus de ses activités universitaires, Raphaël siège au conseil d’administration de la Fête de la lecture et du livre jeunesse de Longueuil et est membre de l’Association Internationale des Jeunes Avocats.
Michelle Liu
Michelle Liu (iel) est un.e colon.ne non invité.e (troisième génération) vivant sur le territoire traditionnel de la Nation Anishinaabe Algonquine. En tant que personne queer, non-binaire, racialisée et neurodivergente, Michelle concentre ses efforts sur l’utilisation de ses connaissances spécialisées et de son expérience vécue pour influencer les individus, les organisations et les systèmes afin de promouvoir la justice sociale. Le travail de Michelle est guidé par divers cadres critiques et anti-oppressifs, y compris les cadres décoloniaux, abolitionnistes, queers, féministes, anti-racistes et intersectionnels.
Michelle est ingénieur.e professionnel.le en Ontario et membre en règle du Barreau de l’Ontario. Le travail de Michelle en tant que conférencier.ère, activiste et conseiller.ère en politiques a touché plus de 160 évènements, documents et organisations. Michelle fait également partie de l’Équipe éditoriale de la “Revue femmes et droit”, une publication multidisciplinaire et évaluée par des pairs sur le statut social, économique et juridique des femmes et des personnes trans, non-binaires et non conformes au genre.
Michelle a obtenu un baccalauréat spécialisé et sa maîtrise en génie civil à l'université de Waterloo et a travaillé dans la conception et de la gestion de la construction pour divers cabinets d'ingénieurs-conseils. Les expériences de Michelle avec le racisme, l’homophobie, le capacitisme et la violence basée sur le genre dans le domaine de génie l’ont inspiré.e à poursuivre un diplôme en droit (JD, Magna cum laude et Prix du doyen) et un doctorat en génie simultanément à l’Université d’Ottawa. Pendant ses études en droit, Michelle a servi deux mandats en tant que président.e de l’Association étudiante de common law, président.e de l’Association OUTLaw des étudiant.e.s 2SLGBTQ+ en droit, et membre du Sénat de l’Université. Michelle a travaillé chez Blake, Cassels & Graydon LLP et Ecojustice Canada.
La recherche doctorale en génie de Michelle, pour laquelle iel a reçu la bourse d’études supérieures du Canada Vanier et la bourse de la Fondation Pierre Elliott Trudeau et la bourse d'études supérieures du Canada Vanier, utilise des cadres sociojuridiques pour comprendre la relation entre les conceptions technologiques et les normes dominantes en génie telles que la masculinité et la méritocratie. Les priorités actuelles de Michelle incluent devenir professeur.e à la fois de droit et de génie et diriger un cabinet juridique défendant les personnes en quête d’équité qui subissent des discriminations dans les milieux de travail en STIM.
Le travail bénévole de Michelle en droit et en génie a compris de siéger comme membre du conseil d’administration de l’Ordre des ingénieurs de l’Ontario, membre du Groupe consultatif sur l’équité du Barreau de l’Ontario, mentor avec la Federation of Asian Canadian Lawyers, président.e du Waterloo Recent Engineering Alumni Council, membre du Conseil d’engagement de la communauté récemment diplômée de la Section de common law de l’Université d’Ottawa, ambassadeur.ice du Ontario Network of Women in Engineering, et co-président.e du Groupe de travail sur l’équité, la diversité, l’inclusion et l’accessibilité de l’Ontario Society of Professional Engineers. Michelle a également co-créé et co-finance le Liu-Kennington Award for the 2SLGBTQ+ Engineering Community, la première bourse universitaire pour les étudiant.e.s 2SLGBTQ+ en génie au Canada.
Pour son leadership, son activisme et son impact, Michelle a reçu plus de 20 prix d’institutions locales et nationales, dont le titre de EDI Leader in Engineering Workplaces par Ingénieurs Canada en 2021-2022.
Michelle est ingénieur.e professionnel.le en Ontario et membre en règle du Barreau de l’Ontario. Le travail de Michelle en tant que conférencier.ère, activiste et conseiller.ère en politiques a touché plus de 160 évènements, documents et organisations. Michelle fait également partie de l’Équipe éditoriale de la “Revue femmes et droit”, une publication multidisciplinaire et évaluée par des pairs sur le statut social, économique et juridique des femmes et des personnes trans, non-binaires et non conformes au genre.
Michelle a obtenu un baccalauréat spécialisé et sa maîtrise en génie civil à l'université de Waterloo et a travaillé dans la conception et de la gestion de la construction pour divers cabinets d'ingénieurs-conseils. Les expériences de Michelle avec le racisme, l’homophobie, le capacitisme et la violence basée sur le genre dans le domaine de génie l’ont inspiré.e à poursuivre un diplôme en droit (JD, Magna cum laude et Prix du doyen) et un doctorat en génie simultanément à l’Université d’Ottawa. Pendant ses études en droit, Michelle a servi deux mandats en tant que président.e de l’Association étudiante de common law, président.e de l’Association OUTLaw des étudiant.e.s 2SLGBTQ+ en droit, et membre du Sénat de l’Université. Michelle a travaillé chez Blake, Cassels & Graydon LLP et Ecojustice Canada.
La recherche doctorale en génie de Michelle, pour laquelle iel a reçu la bourse d’études supérieures du Canada Vanier et la bourse de la Fondation Pierre Elliott Trudeau et la bourse d'études supérieures du Canada Vanier, utilise des cadres sociojuridiques pour comprendre la relation entre les conceptions technologiques et les normes dominantes en génie telles que la masculinité et la méritocratie. Les priorités actuelles de Michelle incluent devenir professeur.e à la fois de droit et de génie et diriger un cabinet juridique défendant les personnes en quête d’équité qui subissent des discriminations dans les milieux de travail en STIM.
Le travail bénévole de Michelle en droit et en génie a compris de siéger comme membre du conseil d’administration de l’Ordre des ingénieurs de l’Ontario, membre du Groupe consultatif sur l’équité du Barreau de l’Ontario, mentor avec la Federation of Asian Canadian Lawyers, président.e du Waterloo Recent Engineering Alumni Council, membre du Conseil d’engagement de la communauté récemment diplômée de la Section de common law de l’Université d’Ottawa, ambassadeur.ice du Ontario Network of Women in Engineering, et co-président.e du Groupe de travail sur l’équité, la diversité, l’inclusion et l’accessibilité de l’Ontario Society of Professional Engineers. Michelle a également co-créé et co-finance le Liu-Kennington Award for the 2SLGBTQ+ Engineering Community, la première bourse universitaire pour les étudiant.e.s 2SLGBTQ+ en génie au Canada.
Pour son leadership, son activisme et son impact, Michelle a reçu plus de 20 prix d’institutions locales et nationales, dont le titre de EDI Leader in Engineering Workplaces par Ingénieurs Canada en 2021-2022.
Dr Emmanuel Kattan
Dr. Emmanuel Kattan est directeur du programme Alliance, un projet académique innovant qui réunit l'Université Columbia et trois grands établissements d'enseignement supérieur français : l'École Polytechnique, Sciences Po et l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il était auparavant directeur du British Council à New York, où il supervisait les programmes de collaboration universitaire. Il a créé des partenariats avec la Fondation Henry Luce et la Carnegie Corporation pour lancer des initiatives reliant les établissements d'enseignement supérieur de part et d'autre de l'Atlantique. Avant de rejoindre le British Council, Emmanuel était conseiller principal à l'Alliance des civilisations des Nations unies, où il a géré les communications stratégiques et l'engagement avec les communautés universitaires. Il a également occupé des postes de direction au Secrétariat du Commonwealth et à la Délégation du Québec à Londres, où il était responsable des programmes de relations universitaires.
Originaire de Montréal, Dr. Emmanuel Kattan a étudié la politique à Oxford en tant que boursier Rhodes et a obtenu un doctorat de l'École des hautes études en sciences sociales à Paris. Il est l'auteur de quatre livres : un essai sur la politique de la mémoire et trois romans.
Originaire de Montréal, Dr. Emmanuel Kattan a étudié la politique à Oxford en tant que boursier Rhodes et a obtenu un doctorat de l'École des hautes études en sciences sociales à Paris. Il est l'auteur de quatre livres : un essai sur la politique de la mémoire et trois romans.
Mélanie Vincent
Mélanine Vincent est membre de la Nation huronne-wendat, détentrice d’un baccalauréat multidisciplinaire de l’Université Laval (1998), d’une maîtrise en administration de la justice et de la sécurité de l’Université de Phoenix ( Arizona-2009) et boursière du Haut-Commissariat des droits de l’homme de l’ONU à Genève et de l’UNESCO à Paris (2004). Depuis 2007, Gestion MV Management offre des services de gestion conseil sur les dossiers autochtones, l'organisation d’événements clé-en-main axés sur des enjeux autochtones, les communications stratégiques et l’accompagnement organisationnel en lien avec la diversité et l’inclusion des peuples autochtones au Québec. Directrice générale du Forum socio-économique des Premières Nations de 2006, elle a ensuite été adjointe exécutive du Chef de l'Assemblée des Premières Nations QC-Labrador de 2007 à 2021. Entre 2012 et 2019, elle a été chargée de déployer des campagnes sur les processus de réclamation à la suite de recours collectifs dont celui de la Rafle des années 60 (Sixties Scoop), à travers le Canada. De 2012 à 2024, Mélanie a fait partie de l’équipe de coordination de l’application des droits et intérêts relatifs au patrimoine de la Nation huronne-wendat en Ontario. Elle a développé une expertise en matière de rapatriement d'ancêtres wendat et d'artéfacts. En 2017, Mélanie a fondé le festival KWE! À la rencontre des peuples autochtones dont la mission vise le rapprochement entre les Québécois et les peuples autochtones au Québec. Organisé annuellement à Québec (www.kwefest.com), KWE attire plus de 20 000 visiteurs. Elle en assure la direction générale jusqu'à maintenant. Grâce à son expérience et son expertise en gestion des communications en situation de crise et en gestion de mesures d'urgence, Mélanie est formatrice pour l'École des dirigeants autochtones du HEC Montréal.
Étienne Cossette-Lefebvre
Étienne Cossette-Lefebvre est avocat, doctorant en droit à l’Université de Toronto, et professeur adjoint auxiliaire et fellow en droit des biens à la Faculté de droit de l’Université Queen’s. Il est Boursier de la Fondation Pierre Elliott Trudeau (2021-2024) et Titulaire d’une bourse de doctorat du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand Bombardier en l’honneur de Nelson Mandela (2021-2024). Sa dissertation offre des perspectives trans-systémiques innovantes sur l’idée d’une propriété de soi afin d’expliquer les droits d’une personne sur son corps, son image, sa voix et ses informations personnelles. Il se sent privilégié d’être un Jeune Boursier du Collège Massey.
Étienne obtient son B.C.L./LL.B. (Honours) de la Faculté de droit de l’Université McGill en mai 2014. Son passage à la Faculté lui vaut plusieurs prix d’excellence et son nom figure au Tableau d’honneur du doyen. Il reçoit également le prix du concours de rédaction de l’Association québécoise de droit comparé dans la catégorie 1er cycle (2013-2014). Durant ses études postsecondaires, Étienne continue sa formation de haut niveau en piano classique.
Après avoir complété son Barreau, où il obtient la seconde meilleure note de l’ensemble de sa cohorte (2014-2015), Étienne travaille comme avocat-recherchiste à la Cour d’appel du Québec. En 2018-2019, il est auxiliaire juridique à la Cour suprême du Canada auprès de l’honorable Russell Brown. En 2020, il obtient une maîtrise en droit de l’Université de Toronto. Durant l’année académique 2020-2021, il est chargé de cours à la Faculté de droit de l’Université McGill et directeur adjoint du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé. Ses recherches portent sur le droit des personnes, le droit des biens, le droit des obligations, le droit des successions, le droit comparé, la théorie et la philosophie du droit et l’histoire du droit.
Étienne obtient son B.C.L./LL.B. (Honours) de la Faculté de droit de l’Université McGill en mai 2014. Son passage à la Faculté lui vaut plusieurs prix d’excellence et son nom figure au Tableau d’honneur du doyen. Il reçoit également le prix du concours de rédaction de l’Association québécoise de droit comparé dans la catégorie 1er cycle (2013-2014). Durant ses études postsecondaires, Étienne continue sa formation de haut niveau en piano classique.
Après avoir complété son Barreau, où il obtient la seconde meilleure note de l’ensemble de sa cohorte (2014-2015), Étienne travaille comme avocat-recherchiste à la Cour d’appel du Québec. En 2018-2019, il est auxiliaire juridique à la Cour suprême du Canada auprès de l’honorable Russell Brown. En 2020, il obtient une maîtrise en droit de l’Université de Toronto. Durant l’année académique 2020-2021, il est chargé de cours à la Faculté de droit de l’Université McGill et directeur adjoint du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé. Ses recherches portent sur le droit des personnes, le droit des biens, le droit des obligations, le droit des successions, le droit comparé, la théorie et la philosophie du droit et l’histoire du droit.
Lydie Belporo
Lydie C. Belporo est chargée de dossier principale à Affaires mondiales Canada et doctorante à l’École de criminologie de l'Université de Montréal, où elle achève une thèse sur la gouvernance des sorties de l’extrémisme violent en Afrique subsaharienne. Titulaire de deux maîtrises en relations internationales et en droit international de l’Université de Montréal, elle a coordonné le projet PREV-IMPACT pour la Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violents au Canada jusqu’en 2020. Par la suite, elle a été chercheuse associée dans le cadre d’une étude internationale sur les dispositifs de prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent dans l'espace francophone, menée en collaboration avec l’Organisation Internationale de la Francophonie, publiée en 2022. Lauréate de nombreux prix académiques et bourses doctorales, Lydie s’est distinguée notamment lors du concours régional de plaidoirie en droit international humanitaire organisé par le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) et lors du concours national littéraire sur le commerce équitable de l’organisme Aide internationale pour l'enfance au Québec.
Sahar Ghadhban
Sahar Ghadhban est une diplomate de carrière qui compte plus d’une décennie d’expérience à l’étranger, spécialisée dans la Russie et le Moyen-Orient. Elle a débuté sa carrière diplomatique avec deux affectations dans les ambassades du Canada en Algérie (2008) et en Syrie (2010), où elle était responsable occupée du dossier des droits de la personne. En Syrie, elle a suivi les procès et la détention d’activistes politiques et a collaboré avec la société civile pour la coordination d’une campagne de sensibilisation.
Sahar a acquis une expérience multilatérale onusienne au sein des missions permanentes du Canada auprès l’ONU à Genève (2011) et à New York (2015), où elle a négocié des résolutions sur diverses questions, notamment la décolonisation, le droit à l’autodétermination et les opérations de maintien de la paix. Avant de rejoindre le service extérieur, Sahar a également travaillé au Programme des Nations Unies pour le développement dans la Tunisie postrévolutionnaire, où elle a été témoin de la rédaction d’une nouvelle constitution et la tenue de premières élections libres.
En 2017, Sahar a été affectée à l’ambassade du Canada en Russie avec une accréditation simultanée en Arménie (2017-2021). Elle a couvert la politique étrangère de la Russie, notamment son intervention militaire en Syrie et l’invasion de l’Ukraine. Sahar a examiné l’impact de ces conflits sur l’ordre mondial. Sahar a également couvert le conflit du Haut-Karabakh et coordonné la réponse politique et humanitaire du Canada. Sahar a récemment terminé une affectation de trois ans à l’ambassade du Canada au Liban (2021-2024), où elle s’est concentrée sur des questions politiques et de sécurité clés, notamment la guerre à Gaza et son impact sur le Sud-Liban.
À Moscou, Sahar a pris l’initiative de créer le Women in Diplomacy Network, une plateforme conçue pour promouvoir et soutenir les femmes dans la politique étrangère et la diplomatie. Elle a également reproduit cette initiative lors de son affectation à Beyrouth. Sahar a également offert une plateforme aux femmes en dehors de la diplomatie. L’un des événements les plus récents a mis en vedette des femmes reporters dans des zones de conflit, soulignant l’importance du droit international humanitaire dans les conflits.
Sahar croit fermement que son rôle en tant que diplomate est de donner une voix à ceux qui n’en ont pas et de présenter un récit différent de l’histoire.
Sahar est titulaire d’une maîtrise en affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa. Elle poursuit actuellement des études de maîtrise en stratégie et diplomatie internationales à la London School of Economics and Political Science (LSE) à Londres, au Royaume-Uni.
Sahar a acquis une expérience multilatérale onusienne au sein des missions permanentes du Canada auprès l’ONU à Genève (2011) et à New York (2015), où elle a négocié des résolutions sur diverses questions, notamment la décolonisation, le droit à l’autodétermination et les opérations de maintien de la paix. Avant de rejoindre le service extérieur, Sahar a également travaillé au Programme des Nations Unies pour le développement dans la Tunisie postrévolutionnaire, où elle a été témoin de la rédaction d’une nouvelle constitution et la tenue de premières élections libres.
En 2017, Sahar a été affectée à l’ambassade du Canada en Russie avec une accréditation simultanée en Arménie (2017-2021). Elle a couvert la politique étrangère de la Russie, notamment son intervention militaire en Syrie et l’invasion de l’Ukraine. Sahar a examiné l’impact de ces conflits sur l’ordre mondial. Sahar a également couvert le conflit du Haut-Karabakh et coordonné la réponse politique et humanitaire du Canada. Sahar a récemment terminé une affectation de trois ans à l’ambassade du Canada au Liban (2021-2024), où elle s’est concentrée sur des questions politiques et de sécurité clés, notamment la guerre à Gaza et son impact sur le Sud-Liban.
À Moscou, Sahar a pris l’initiative de créer le Women in Diplomacy Network, une plateforme conçue pour promouvoir et soutenir les femmes dans la politique étrangère et la diplomatie. Elle a également reproduit cette initiative lors de son affectation à Beyrouth. Sahar a également offert une plateforme aux femmes en dehors de la diplomatie. L’un des événements les plus récents a mis en vedette des femmes reporters dans des zones de conflit, soulignant l’importance du droit international humanitaire dans les conflits.
Sahar croit fermement que son rôle en tant que diplomate est de donner une voix à ceux qui n’en ont pas et de présenter un récit différent de l’histoire.
Sahar est titulaire d’une maîtrise en affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa. Elle poursuit actuellement des études de maîtrise en stratégie et diplomatie internationales à la London School of Economics and Political Science (LSE) à Londres, au Royaume-Uni.
Benjamin Boutin
Diplômé de Sciences Po Aix, de l'Université Paris Saclay et de l’École nationale d'administration publique du Québec, Benjamin Boutin est président d'honneur de Francophonie sans frontières, directeur de France-Canada, chef de projet pour l'association française membre de l'Alliance G20 des Entrepreneurs, membre du comité d'honneur de l'Association pour la Diffusion internationale francophone de livres, ouvrages et revues (ADIFLOR), consultant, conférencier et maître de conférences associé à l'Université Jean Moulin Lyon III.
Il a travaillé à la Représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne, au Centre de doctrine d'emploi des forces (devenu le Centre de doctrine et d'enseignement du commandement), à la Délégation aux affaires stratégiques (devenue la Direction générale des relations internationales et de la stratégie), à l’Assemblée nationale de France (au cabinet du député de l'Aisne, vice-président de la commission du développement durable et secrétaire général parlementaire de la Francophonie) à l’Assemblée nationale du Québec (au cabinet du chef de l'Opposition officielle) ainsi qu’à Radio-Canada. Chercheur associé à l’Institut Prospective et Sécurité en Europe, professeur invité au Centre d’études diplomatiques et internationales d’Haïti, à l’École des nouveaux métiers de la communication et à l'Université du Luxembourg, il donne des cours, des séminaires, des conférences, organise et anime des ateliers, des tables-rondes, des colloques. Il intervient également dans les médias.
Ses domaines d'expertise et d'engagement sont la Francophonie, l'Europe, la géopolitique, les affaires politiques et parlementaires, le dialogue des cultures, le mouvement coopératif et la coopération internationale en vue du développement durable et de la paix.
Il a travaillé à la Représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne, au Centre de doctrine d'emploi des forces (devenu le Centre de doctrine et d'enseignement du commandement), à la Délégation aux affaires stratégiques (devenue la Direction générale des relations internationales et de la stratégie), à l’Assemblée nationale de France (au cabinet du député de l'Aisne, vice-président de la commission du développement durable et secrétaire général parlementaire de la Francophonie) à l’Assemblée nationale du Québec (au cabinet du chef de l'Opposition officielle) ainsi qu’à Radio-Canada. Chercheur associé à l’Institut Prospective et Sécurité en Europe, professeur invité au Centre d’études diplomatiques et internationales d’Haïti, à l’École des nouveaux métiers de la communication et à l'Université du Luxembourg, il donne des cours, des séminaires, des conférences, organise et anime des ateliers, des tables-rondes, des colloques. Il intervient également dans les médias.
Ses domaines d'expertise et d'engagement sont la Francophonie, l'Europe, la géopolitique, les affaires politiques et parlementaires, le dialogue des cultures, le mouvement coopératif et la coopération internationale en vue du développement durable et de la paix.
Jillian Boyd
Jillian Boyd est directrice de l’éducation numérique à l’Institut national de la magistrature (INM). Au Canada, l’INM est le principal fournisseur de services de formation pour les 2 500 juges du Canada et continue, à ce titre, d’offrir des programmes de formation et des ressources qui aident les juges à mieux servir les intérêts des Canadiennes et des Canadiens. En tant qu’organisation indépendante et dirigée par des juges, le programme de formation offert par l’INM couvre le droit, les habiletés et le contexte social. Jillian est responsable du programme de formation en ligne destiné aux juges canadiens et s’assure que ces derniers ont accès à des ressources innovantes, de qualité et à des produits sur demande qui répondent à leurs besoins, comme des cours d’autoapprentissage asynchrones, des balados, des webinaires, des centres de ressources, et des cahiers d’audience électroniques.
Jillian est une avocate bilingue membre du Barreau de l’Ontario. Après ses études en droit, elle a acquis une expérience inestimable à titre d’auxiliaire de l’honorable Beverley McLachlin, alors juge à la Cour suprême du Canada, et d’avocate en droit criminel et droit de la personne chez Scott & Oleskiw, à Toronto. Elle est boursière de la Fondation Trudeau et du programme Fulbright, titulaire d’une maîtrise en droit de l’Université Columbia et une enseignante primée de la Faculté de droit de l’Université Queen’s et de l’Université Carleton. Auparavant directrice de la formation en personne à l'INM et ayant travaillé avec l'INM dans le domaine de la formation judiciaire internationale et du renforcement institutionnel, Jillian apporte à son rôle 15 ans d'expérience de travail avec des juges, des acteurs de la justice, des membres de la communauté, des universitaires et des experts pour soutenir l'État de droit et la confiance du public dans notre système judiciaire.
Jillian est une avocate bilingue membre du Barreau de l’Ontario. Après ses études en droit, elle a acquis une expérience inestimable à titre d’auxiliaire de l’honorable Beverley McLachlin, alors juge à la Cour suprême du Canada, et d’avocate en droit criminel et droit de la personne chez Scott & Oleskiw, à Toronto. Elle est boursière de la Fondation Trudeau et du programme Fulbright, titulaire d’une maîtrise en droit de l’Université Columbia et une enseignante primée de la Faculté de droit de l’Université Queen’s et de l’Université Carleton. Auparavant directrice de la formation en personne à l'INM et ayant travaillé avec l'INM dans le domaine de la formation judiciaire internationale et du renforcement institutionnel, Jillian apporte à son rôle 15 ans d'expérience de travail avec des juges, des acteurs de la justice, des membres de la communauté, des universitaires et des experts pour soutenir l'État de droit et la confiance du public dans notre système judiciaire.
Clara Laplante-Bédard
Adèle Gagnon Pelletier
Alexis Blondin-Bois
Lilya Ait Hammou
Clara Byk Girou
Mpabwa Christian
Julie Lavallée
Camille Côté
Samuel Despars
Fernanda Barrios Vega
Yanie St. Pierre
Stéphanie St. Jacques
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