top of page
Notre Équipe
Ces étudiant.es, immergé.es dans le programme interdisciplinaire de l'Observatoire, développent une expertise à l'intersection du leadership et des droits humains. Grâce à l'apprentissage expérientiel, ils et elles acquièrent des compétences pratiques et des connaissances théoriques, devenant ainsi des défenseur.es efficaces, prêt.es à naviguer dans les complexités des droits humains en pratique
Clara Laplante-Bédard
Clara Laplante-Bédard, avocate et candidate au doctorat en droit, entame sa troisième année avec une passion pour le droit des enfants, les droits de la personne, la justice pénale et le droit criminel. Animée par des valeurs profondes de justice et d'égalité, Clara oriente son parcours académique et professionnel en accord avec ces principes.
Ses recherches portent sur la surreprésentation des jeunes racisé.e.s dans le système de justice pénale pour adolescent.e.s au Québec. En s'attaquant au racisme systémique et au profilage racial, elle vise à promouvoir les principes de non-discrimination et l’intérêt supérieur de l’enfant, tels que définis par la Convention relative aux droits de l’enfant, dans le cadre de la justice pénale pour les adolescent.e.s.
Le stage d’enseignement clinique à l'Observatoire constitue pour Clara une opportunité idéale de contribuer activement au dialogue sur les droits de la personne, tout en bénéficiant des enseignements d'expert.e.s de renommée mondiale. Elle aspire à ce que la Convention relative aux droits de l’enfant soit directement applicable devant les tribunaux canadiens et que le principe de l’intérêt supérieur de l’enfant soit pleinement intégré dans la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents.
Afin de démocratiser le savoir, Clara Laplante-Bédard fait partie du sous-groupe du Comité des droits de l’enfant (CRC), axé sur la promotion des droits des enfants à l’échelle mondiale.
Ses recherches portent sur la surreprésentation des jeunes racisé.e.s dans le système de justice pénale pour adolescent.e.s au Québec. En s'attaquant au racisme systémique et au profilage racial, elle vise à promouvoir les principes de non-discrimination et l’intérêt supérieur de l’enfant, tels que définis par la Convention relative aux droits de l’enfant, dans le cadre de la justice pénale pour les adolescent.e.s.
Le stage d’enseignement clinique à l'Observatoire constitue pour Clara une opportunité idéale de contribuer activement au dialogue sur les droits de la personne, tout en bénéficiant des enseignements d'expert.e.s de renommée mondiale. Elle aspire à ce que la Convention relative aux droits de l’enfant soit directement applicable devant les tribunaux canadiens et que le principe de l’intérêt supérieur de l’enfant soit pleinement intégré dans la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents.
Afin de démocratiser le savoir, Clara Laplante-Bédard fait partie du sous-groupe du Comité des droits de l’enfant (CRC), axé sur la promotion des droits des enfants à l’échelle mondiale.
Adèle Gagnon Pelletier
Adèle Gagnon Pelletier poursuit présentement sa deuxième année de Licence en droit civil à l’Université d’Ottawa. Le concept de l’intersectionnalité au sein des droits de la personne l’intéresse particulièrement.
Étant originaire du Saguenay-Lac-Saint-Jean, elle a pu constater qu’en région, les différentes initiatives concernant l’accès à la justice chez certains groupes vulnérables sont plus complexes à appliquer.
Afin de démocratiser le savoir, Adèle Gagnon Pelletier fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Étant originaire du Saguenay-Lac-Saint-Jean, elle a pu constater qu’en région, les différentes initiatives concernant l’accès à la justice chez certains groupes vulnérables sont plus complexes à appliquer.
Afin de démocratiser le savoir, Adèle Gagnon Pelletier fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Alexis Blondin-Bois
Originaire d'un petit village des Hautes-Laurentides au Québec, Alexis Blondin-Bois a grandi en pleine nature où sa passion pour le plein air et les sports extrêmes s'est développée. Cette expérience en milieu rural, ainsi que les défis sociaux auxquels il a été confronté dans sa communauté rurale, ont profondément influencé son engagement envers les droits humains.
Le cours clinique proposé par l'Observatoire suscite un vif intérêt chez Alexis en raison de son désir de comprendre les mécanismes internationaux de protection des droits de la personne. Son parcours l'a conduit à s'impliquer dans divers projets communautaires, notamment dans les domaines de la sécurité alimentaire, de la défense des droits des minorités sexuelles et de genre, et de l'accès à l'éducation.
En matière de droits de la personne, Alexis aspire à sensibiliser le grand public aux enjeux cruciaux tels que la sécurité alimentaire et les droits des personnes marginalisées.
Afin de démocratiser le savoir, Alexis Blondin-Bois fait partie du sous-groupe du Comité des droits de l’enfant (CRC), axé sur la promotion des droits des enfants à l’échelle mondiale.
Le cours clinique proposé par l'Observatoire suscite un vif intérêt chez Alexis en raison de son désir de comprendre les mécanismes internationaux de protection des droits de la personne. Son parcours l'a conduit à s'impliquer dans divers projets communautaires, notamment dans les domaines de la sécurité alimentaire, de la défense des droits des minorités sexuelles et de genre, et de l'accès à l'éducation.
En matière de droits de la personne, Alexis aspire à sensibiliser le grand public aux enjeux cruciaux tels que la sécurité alimentaire et les droits des personnes marginalisées.
Afin de démocratiser le savoir, Alexis Blondin-Bois fait partie du sous-groupe du Comité des droits de l’enfant (CRC), axé sur la promotion des droits des enfants à l’échelle mondiale.
Lilya Ait Hammou
Lilya Ait Hammou est une étudiante de 2e année au programme de la Licence en droit, Section de droit civil de l’Université d’Ottawa. Curieuse de nature, ses centres d’intérêts sont variés et le voyage est l’une de ses manières préférées de s’ouvrir sur le monde, afin de mieux comprendre comment il fonctionne et la façon dont elle peut y contribuer.
Afin de démocratiser le savoir, Lilya Ait Hammou fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Afin de démocratiser le savoir, Lilya Ait Hammou fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Clara Byk Giroux
Clara Byk Giroux est une étudiante de deuxième année en droit civil (LL.L). Originaire d’Ottawa, elle a toutefois eu la chance de grandir à l’étranger, notamment en France, au Danemark et en Australie.
Ce cours l'intéresse beaucoup car il lui permettra à la fois d’en apprendre davantage sur la protection des droits de la personne ainsi que sur le fonctionnement interne de l’ONU, envers lequel elle a toujours eu une grande curiosité. Parmi ses intérêts en droit de la personne, Clara est particulièrement intéressée par la protection des droits fondamentaux, notamment les droits des femmes, durant les conflits armés.
Afin de démocratiser le savoir, Clara Byk Giroux fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Ce cours l'intéresse beaucoup car il lui permettra à la fois d’en apprendre davantage sur la protection des droits de la personne ainsi que sur le fonctionnement interne de l’ONU, envers lequel elle a toujours eu une grande curiosité. Parmi ses intérêts en droit de la personne, Clara est particulièrement intéressée par la protection des droits fondamentaux, notamment les droits des femmes, durant les conflits armés.
Afin de démocratiser le savoir, Clara Byk Giroux fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Mpabwa Christian
Mpabwa Christian est étudiant en deuxième année de doctorat (PhD) en Droit de l’Université d’Ottawa et titulaire d’une maitrise en Droit (LL.M) de la même Université. Il détient aussi une Licence en Droit de l’Université Libre des Pays des Grands-Lacs (ULPG-Goma).
Sa recherche doctorale s’intéresse aux relations entre les titulaires des droits miniers et les communautés locales en République Démocratique du Congo (RDC), dont il est originaire. Sous une perspective transversale, il s’intéresse principalement au processus des cahiers des charges pour l’effectivité des projets de développement socio-économiques et industriel.
Alumni du Centre régional de Leadership YALI-Dakar (2021), il fut Co-Président (2022-2023) de l’Association des Étudiant(e)s Diplômé(es) en Droit (GSLEED et dispose d’une riche expérience en tant que Conseiller Juridique d’entreprises.
Afin de démocratiser le savoir, Mpabwa Christian fait partie du sous-groupe du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), axé sur les intersections entre la race et les inégalités en matière de santé. Dans le cadre de cette initiative, ils produiront un rapport intitulé « Lutter contre les barrières systémiques : la race et le droit à la santé à la lumière de la recommandation générale 37 du CEDR », qui évaluera de manière critique l'impact de la discrimination raciale systémique sur l'accès aux soins de santé et proposera des solutions en accord avec le cadre du CERD pour promouvoir l'équité en matière de santé pour les communautés raciales marginalisées.
Sa recherche doctorale s’intéresse aux relations entre les titulaires des droits miniers et les communautés locales en République Démocratique du Congo (RDC), dont il est originaire. Sous une perspective transversale, il s’intéresse principalement au processus des cahiers des charges pour l’effectivité des projets de développement socio-économiques et industriel.
Alumni du Centre régional de Leadership YALI-Dakar (2021), il fut Co-Président (2022-2023) de l’Association des Étudiant(e)s Diplômé(es) en Droit (GSLEED et dispose d’une riche expérience en tant que Conseiller Juridique d’entreprises.
Afin de démocratiser le savoir, Mpabwa Christian fait partie du sous-groupe du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), axé sur les intersections entre la race et les inégalités en matière de santé. Dans le cadre de cette initiative, ils produiront un rapport intitulé « Lutter contre les barrières systémiques : la race et le droit à la santé à la lumière de la recommandation générale 37 du CEDR », qui évaluera de manière critique l'impact de la discrimination raciale systémique sur l'accès aux soins de santé et proposera des solutions en accord avec le cadre du CERD pour promouvoir l'équité en matière de santé pour les communautés raciales marginalisées.
Julie Lavallée
Julie Lavallée est née et a grandi à Montréal. Elle possède un parcours académique et professionnel déjà bien rempli et très diversifié. Intéressée par la diversité, elle a amplement voyagé à travers le Canada, les États-Unis, l’Amérique Centrale, l’Europe, l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient afin d’ouvrir ses horizons, découvrir de nouvelles opportunités mais aussi pour apprécier les autres cultures, leurs beautés et leurs différences.
Le droit, la justice, l’équité et l’égalité font partie intégrante de ses valeurs. Étant quotidiennement confrontée à des enjeux liés au domaine du droit elle décide de s’orienter plus sérieusement dans ce domaine où elle en est à sa troisième année d’études à la Section de droit civil de l’Université d’Ottawa.
Afin de démocratiser le savoir, Julie Lavallée fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Le droit, la justice, l’équité et l’égalité font partie intégrante de ses valeurs. Étant quotidiennement confrontée à des enjeux liés au domaine du droit elle décide de s’orienter plus sérieusement dans ce domaine où elle en est à sa troisième année d’études à la Section de droit civil de l’Université d’Ottawa.
Afin de démocratiser le savoir, Julie Lavallée fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Camille Côté
Camille Côté est actuellement en deuxième année de ma licence en droit civil (LL.L) à l'Université d'Ottawa. Originaire de Rimouski, elle est profondément passionnée par la défense des droits humains. Cette année, elle s’est impliquée dans l'association World Vision ainsi que dans l'association du Droit de l'immigration et des réfugiés. Sur le plan professionnel, elle est réserviste depuis trois ans dans la Marine Royale canadienne, où elle occupe le poste d'Opérateur d'informations de combat naval.
Son intérêt pour le droit des personnes vient de sa conviction profonde que tout le monde mérite d’être traité avec dignité/respect et ce, partout dans le monde. Elle a un intérêt particulièrement marqué pour les droits des femmes et des enfants, car elle est profondément convaincue que ces groupes, souvent vulnérables, méritent une attention et une protection accrues.
Afin de démocratiser le savoir, Camille Côté fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Son intérêt pour le droit des personnes vient de sa conviction profonde que tout le monde mérite d’être traité avec dignité/respect et ce, partout dans le monde. Elle a un intérêt particulièrement marqué pour les droits des femmes et des enfants, car elle est profondément convaincue que ces groupes, souvent vulnérables, méritent une attention et une protection accrues.
Afin de démocratiser le savoir, Camille Côté fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Samuel Despars
Samuel débute la troisième année de sa licence en droit civil à l'Université d'Ottawa. Avant de poursuivre ses études en droit, il a obtenu un baccalauréat en philosophie à l'Université de Montréal, suivi d'une maîtrise en sciences de l'administration à l'Université Laval. Il a ensuite acquis de l’expérience en développement international et en intervention d’urgence lors desquelles il a été confronté à divers enjeux de droits de la personne.
Durant son parcours en droit, il a développé divers intérêts, notamment en libertés fondamentales et en droit des investissements étrangers. Conservant un vif intérêt pour la philosophie, il s'intéresse particulièrement aux questions de moralité au sein des institutions et des entreprises.
Afin de démocratiser le savoir, Samuel Despars fait partie du sous-groupe du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), axé sur les intersections entre la race et les inégalités en matière de santé. Dans le cadre de cette initiative, ils produiront un rapport intitulé « Lutter contre les barrières systémiques : la race et le droit à la santé à la lumière de la recommandation générale 37 du CEDR », qui évaluera de manière critique l'impact de la discrimination raciale systémique sur l'accès aux soins de santé et proposera des solutions en accord avec le cadre du CERD pour promouvoir l'équité en matière de santé pour les communautés raciales marginalisées.
Durant son parcours en droit, il a développé divers intérêts, notamment en libertés fondamentales et en droit des investissements étrangers. Conservant un vif intérêt pour la philosophie, il s'intéresse particulièrement aux questions de moralité au sein des institutions et des entreprises.
Afin de démocratiser le savoir, Samuel Despars fait partie du sous-groupe du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), axé sur les intersections entre la race et les inégalités en matière de santé. Dans le cadre de cette initiative, ils produiront un rapport intitulé « Lutter contre les barrières systémiques : la race et le droit à la santé à la lumière de la recommandation générale 37 du CEDR », qui évaluera de manière critique l'impact de la discrimination raciale systémique sur l'accès aux soins de santé et proposera des solutions en accord avec le cadre du CERD pour promouvoir l'équité en matière de santé pour les communautés raciales marginalisées.
Fernanda Barrios Vega
Fernanda Barrios Vega est en 3e année de la licence en Droit (LL.L) à l’Université d’Ottawa. Originaire du Paraguay, elle a immigré au Canada en 2005. Elle a obtenu un baccalauréat (Bachelor of Arts) en Études du développement international et en Français de l'Université Dalhousie. Fernanda parle couramment l'anglais, le français, l'espagnol et le portugais.
Son principal champ d’intérêt est la protection des droits de la personne, en particulier les enjeux soulevés par l’intelligence artificielle et ses potentielles répercussions sur les droits fondamentaux et les systèmes démocratiques. Elle s’'intéresse tout particulièrement à son impact sur les droits des femmes.
Afin de démocratiser le savoir, Fernanda Barrios Vega fait partie du sous-groupe du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), axé sur les intersections entre la race et les inégalités en matière de santé. Dans le cadre de cette initiative, ils produiront un rapport intitulé « Lutter contre les barrières systémiques : la race et le droit à la santé à la lumière de la recommandation générale 37 du CEDR », qui évaluera de manière critique l'impact de la discrimination raciale systémique sur l'accès aux soins de santé et proposera des solutions en accord avec le cadre du CERD pour promouvoir l'équité en matière de santé pour les communautés raciales marginalisées.
Son principal champ d’intérêt est la protection des droits de la personne, en particulier les enjeux soulevés par l’intelligence artificielle et ses potentielles répercussions sur les droits fondamentaux et les systèmes démocratiques. Elle s’'intéresse tout particulièrement à son impact sur les droits des femmes.
Afin de démocratiser le savoir, Fernanda Barrios Vega fait partie du sous-groupe du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), axé sur les intersections entre la race et les inégalités en matière de santé. Dans le cadre de cette initiative, ils produiront un rapport intitulé « Lutter contre les barrières systémiques : la race et le droit à la santé à la lumière de la recommandation générale 37 du CEDR », qui évaluera de manière critique l'impact de la discrimination raciale systémique sur l'accès aux soins de santé et proposera des solutions en accord avec le cadre du CERD pour promouvoir l'équité en matière de santé pour les communautés raciales marginalisées.
Yanie St. Pierre
Yanie est étudiante de 2ème année en droit civil à l'Université d'Ottawa. Originaire de Gatineau-Ottawa, elle a débuté sa formation universitaire en développement international et mondialisation en 2022. C'est à ce moment qu’elle a découvert sa passion pour le droit international. Elle a donc décidé de poursuivre son parcours en devenant avocate pour pouvoir faire une différence dans le secteur des droits humains, notamment dans celui du droit des femmes. Yanie rêve de pouvoir représenter son pays en étant diplomate, tout en travaillant avec divers organismes humanitaires.
Afin de démocratiser le savoir, Yanie St. Pierre fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Afin de démocratiser le savoir, Yanie St. Pierre fait partie du sous-groupe du Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), axé sur la documentation de l'intersection du genre, de la religion et de la culture. Dans le cadre de cette initiative, elles produiront un rapport exhaustif intitulé « L’initative "Faith for Rights" de l'ONU : Un bilan critique de son impact sur les droits des femmes », qui vise à évaluer l'efficacité de cette boîte à outils dans la lutte contre la discrimination fondée sur le genre dans les contextes religieux, et à analyser son alignement avec les normes mondiales en matière de droits des femmes.
Stéphanie St Jacques
Stéphanie St Jacques est une étudiante en droit bilingue à l'Université d'Ottawa, où elle complète actuellement sa Licence en droit dans le cadre du Programme national. Titulaire d'un Baccalauréat en arts et d'un Juris Doctor (avec mention cum laude), elle a développé une expertise en droit autochtone, maritime et international, et a obtenu des certificats de l'Académie de droit international de La Haye. L'année prochaine, Stéphanie effectuera un stage à la Cour d'appel fédérale.
Son expérience juridique comprend des stages chez Bombardier-Alstom, dans des agences gouvernementales ainsi que des travaux de protection des enfants autochtones dans un cabinet d'avocats. Actuellement, elle travaille pour la sénatrice McPhedran, où elle a coordonné des événements d'envergure et mène des recherches législatives sur les droits humains, le droit autochtone et environnemental. À l'Université d'Ottawa, Stéphanie a représenté la Faculté de droit commun au Concours Rousseau cet été en Belgique et a mené des recherches sur les contrats miniers internationaux avec la clinique juridique TradeLab. Passionnée par la défense des droits, elle a représenté la jeunesse francophone au niveau provincial et national, plaidant pour un accès équitable à l'éducation en français.
En dehors du droit, Stéphanie est une navigatrice passionnée originaire du nord de l'Ontario, reliant son amour pour l'eau à ses intérêts juridiques dans les questions maritimes.
Afin de démocratiser le savoir, Stéphanie St. Jacques fait partie du sous-groupe du Comité des droits de l’enfant (CRC), axé sur la promotion des droits des enfants à l’échelle mondiale.
Son expérience juridique comprend des stages chez Bombardier-Alstom, dans des agences gouvernementales ainsi que des travaux de protection des enfants autochtones dans un cabinet d'avocats. Actuellement, elle travaille pour la sénatrice McPhedran, où elle a coordonné des événements d'envergure et mène des recherches législatives sur les droits humains, le droit autochtone et environnemental. À l'Université d'Ottawa, Stéphanie a représenté la Faculté de droit commun au Concours Rousseau cet été en Belgique et a mené des recherches sur les contrats miniers internationaux avec la clinique juridique TradeLab. Passionnée par la défense des droits, elle a représenté la jeunesse francophone au niveau provincial et national, plaidant pour un accès équitable à l'éducation en français.
En dehors du droit, Stéphanie est une navigatrice passionnée originaire du nord de l'Ontario, reliant son amour pour l'eau à ses intérêts juridiques dans les questions maritimes.
Afin de démocratiser le savoir, Stéphanie St. Jacques fait partie du sous-groupe du Comité des droits de l’enfant (CRC), axé sur la promotion des droits des enfants à l’échelle mondiale.
bottom of page