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Nos Leaders
Ces étudiant.es, immergé.es dans le programme interdisciplinaire de l'Observatoire, développent une expertise à l'intersection du leadership et des droits humains. Grâce à l'apprentissage expérientiel, ils et elles acquièrent des compétences pratiques et des connaissances théoriques, devenant ainsi des défenseur.es efficaces, prêt.es à naviguer dans les complexités des droits humains en pratique


Charles-Antoine Hallé
Charles-Antoine Hallé entame sa troisième année au programme de droit civil à l’Université d’Ottawa. Entrepreneur socialement engagé, Charles-Antoine s’appuie sur son parcours en innovation, en engagement civique et en rayonnement international pour développer des projets porteurs de changement. Il est à l’origine de quatre initiatives majeures : Apprends & Entreprends, une entreprise spécialisée en pédagogie entrepreneuriale ; Défi48, une compétition où les participant.e.s ont 48 heures et 1 $ pour créer une entreprise rentable ; Trump The World, un jeu de société de satire sociopolitique ; et Legal Sensus, un système d’exploitation juridique utilisant l’intelligence artificielle pour rendre le contenu juridique plus accessible, notamment aux étudiant.e.s neurodivergent.e.s.
Charles-Antoine a également participé à plusieurs projets à l’international, notamment la Grande rencontre des jeunes entrepreneurs francophones (France), le G20 Young Entrepreneurs’ Alliance 2023 (Inde) et le National Model United Nations (New York). Communicateur chevronné, il a animé une chronique à la radio Unique FM, anime actuellement le balado Sans maître et intervient régulièrement comme conférencier pour vulgariser le droit et promouvoir un système juridique plus accessible.
Son intérêt pour les droits humains découle d’un désir d’élargir ses horizons et de mieux comprendre la réalité des personnes confrontées à la discrimination. Il est animé par la volonté d’examiner comment les systèmes juridiques peuvent être mobilisés comme leviers de justice, de dignité et de guérison.
Au sein de l’Observatoire, Charles-Antoine souhaite approfondir ses connaissances des mécanismes internationaux des droits humains et de leur fonctionnement dans divers contextes juridiques. Il se réjouit tout particulièrement de contribuer au sous-groupe sur la neurodiversité. Ayant lui-même un TDAH, il s’intéresse vivement à l’innovation juridique comme outils afin de rendre le milieu juridique plus inclusif pour les personnes neurodivergentes.
Le travail de Charles-Antoine a été reconnu par de nombreux prix, dont Le Maillet Innovateur (2025) de l’Association étudiante de la Section de droit civil de l’Université d’Ottawa, le Prix Excelor – Jeune entrepreneur de l’année (2023) et le Prix Excelor – Startup de l’année (2019) de la Chambre de commerce de Gatineau, le Prix Reconnaissance Jeunesse(2020) du Secrétariat à la jeunesse du Québec, ainsi que la Bourse d’honneur (2018) du ministère de l’Économie et de l’Innovation du Québec. Charles-Antoine maîtrise parfaitement l’anglais et le français.
Charles-Antoine a également participé à plusieurs projets à l’international, notamment la Grande rencontre des jeunes entrepreneurs francophones (France), le G20 Young Entrepreneurs’ Alliance 2023 (Inde) et le National Model United Nations (New York). Communicateur chevronné, il a animé une chronique à la radio Unique FM, anime actuellement le balado Sans maître et intervient régulièrement comme conférencier pour vulgariser le droit et promouvoir un système juridique plus accessible.
Son intérêt pour les droits humains découle d’un désir d’élargir ses horizons et de mieux comprendre la réalité des personnes confrontées à la discrimination. Il est animé par la volonté d’examiner comment les systèmes juridiques peuvent être mobilisés comme leviers de justice, de dignité et de guérison.
Au sein de l’Observatoire, Charles-Antoine souhaite approfondir ses connaissances des mécanismes internationaux des droits humains et de leur fonctionnement dans divers contextes juridiques. Il se réjouit tout particulièrement de contribuer au sous-groupe sur la neurodiversité. Ayant lui-même un TDAH, il s’intéresse vivement à l’innovation juridique comme outils afin de rendre le milieu juridique plus inclusif pour les personnes neurodivergentes.
Le travail de Charles-Antoine a été reconnu par de nombreux prix, dont Le Maillet Innovateur (2025) de l’Association étudiante de la Section de droit civil de l’Université d’Ottawa, le Prix Excelor – Jeune entrepreneur de l’année (2023) et le Prix Excelor – Startup de l’année (2019) de la Chambre de commerce de Gatineau, le Prix Reconnaissance Jeunesse(2020) du Secrétariat à la jeunesse du Québec, ainsi que la Bourse d’honneur (2018) du ministère de l’Économie et de l’Innovation du Québec. Charles-Antoine maîtrise parfaitement l’anglais et le français.
Mélodie Villeneuve Ferreira
Originaire de Gatineau, dans la région de l’Outaouais (Québec), Mélodie entame sa troisième année en droit à l’Université d’Ottawa, où elle poursuit une license en droit civil (LL.L). Elle occupe actuellement le poste de vice-présidente aux communications de l’Association étudiante du droit de la famille de l’Université d’Ottawa.
La passion de Mélodie pour les droits humains s’est manifestée dès son jeune âge. À l’école primaire, une visite à l’Ambassade de la France à Ottawa et une rencontre avec l’Ambassadeur de France au Canada ont éveillé son intérêt pour la diplomatie et les affaires mondiales. Au secondaire, cet intérêt s’est développé pour devenir un véritable engagement envers le droit international, en particulier les droits des femmes et des enfants. Son engagement repose sur sa conviction que les droits fondamentaux ne devraient plus être un privilège accordé à certain.e.s, mais une norme universelle pour tou.te.s.
Mélodie est animée par le désir de contribuer à un monde plus juste, en alliant son parcours en droit à son engagement communautaire et à son sens aigu de la justice.
Pour Mélodie, l’Observatoire représente une occasion précieuse d’approfondir ses connaissances en droits humains et de développer ses compétences en leadership dans un environnement collaboratif et interdisciplinaire. Elle se réjouit de pouvoir contribuer à des recherches porteuses de sens et de collaborer avec des pair.e.s et de mentor.e.s expérimenté.e.s. Mélodie est parfaitement bilingue en français et en anglais, et espère un jour maîtriser le portugais comme sa mère.
La passion de Mélodie pour les droits humains s’est manifestée dès son jeune âge. À l’école primaire, une visite à l’Ambassade de la France à Ottawa et une rencontre avec l’Ambassadeur de France au Canada ont éveillé son intérêt pour la diplomatie et les affaires mondiales. Au secondaire, cet intérêt s’est développé pour devenir un véritable engagement envers le droit international, en particulier les droits des femmes et des enfants. Son engagement repose sur sa conviction que les droits fondamentaux ne devraient plus être un privilège accordé à certain.e.s, mais une norme universelle pour tou.te.s.
Mélodie est animée par le désir de contribuer à un monde plus juste, en alliant son parcours en droit à son engagement communautaire et à son sens aigu de la justice.
Pour Mélodie, l’Observatoire représente une occasion précieuse d’approfondir ses connaissances en droits humains et de développer ses compétences en leadership dans un environnement collaboratif et interdisciplinaire. Elle se réjouit de pouvoir contribuer à des recherches porteuses de sens et de collaborer avec des pair.e.s et de mentor.e.s expérimenté.e.s. Mélodie est parfaitement bilingue en français et en anglais, et espère un jour maîtriser le portugais comme sa mère.




Thomas Joseph Di Re
Originaire de Montréal, Thomas entame sa deuxième année en droit civil à l’Université d’Ottawa.
Au fil de ses études, Thomas a développé un vif intérêt pour le droit international et le droit humanitaire, attiré par la manière dont ces domaines juridiques s’attaquent aux enjeux mondiaux urgents. Son intérêt est né lors de son cours de droit international public, où il a exploré les fondements juridiques qui régissent les relations internationales contemporaines, et s’est approfondi dans le cadre de son cours sur le commerce international, pour lequel il a rédigé un travail portant sur la réforme des subventions aux combustibles fossiles menée par l’OMC et ses répercussions sur les pays en développement.
Parallèlement, Thomas s’intéresse à l’intersection entre le droit et le sport, une passion nourrie par une connexion de longue date à l’athlétisme, en particulier au hockey. Il est actuellement président de l’Association de droit du sport et du divertissement de l’Université d’Ottawa, où il œuvre à favoriser les échanges sur les questions juridiques liées aux milieux sportif et culturel.
En tant qu’étudiant neurodivergent, Thomas est profondément engagé à sensibiliser le public aux défis invisibles auxquels font face les personnes neurodivergentes. Il cherche à faire évoluer le discours dominant, en mettant de l’avant les forces uniques, la résilience et la richesse des perspectives que la neurodivergence peut offrir. Son objectif est de promouvoir une meilleure compréhension de ces expériences et de contribuer à la création d’espaces académiques et professionnels plus inclusifs.
Thomas est parfaitement bilingue en français et en anglais.
Au fil de ses études, Thomas a développé un vif intérêt pour le droit international et le droit humanitaire, attiré par la manière dont ces domaines juridiques s’attaquent aux enjeux mondiaux urgents. Son intérêt est né lors de son cours de droit international public, où il a exploré les fondements juridiques qui régissent les relations internationales contemporaines, et s’est approfondi dans le cadre de son cours sur le commerce international, pour lequel il a rédigé un travail portant sur la réforme des subventions aux combustibles fossiles menée par l’OMC et ses répercussions sur les pays en développement.
Parallèlement, Thomas s’intéresse à l’intersection entre le droit et le sport, une passion nourrie par une connexion de longue date à l’athlétisme, en particulier au hockey. Il est actuellement président de l’Association de droit du sport et du divertissement de l’Université d’Ottawa, où il œuvre à favoriser les échanges sur les questions juridiques liées aux milieux sportif et culturel.
En tant qu’étudiant neurodivergent, Thomas est profondément engagé à sensibiliser le public aux défis invisibles auxquels font face les personnes neurodivergentes. Il cherche à faire évoluer le discours dominant, en mettant de l’avant les forces uniques, la résilience et la richesse des perspectives que la neurodivergence peut offrir. Son objectif est de promouvoir une meilleure compréhension de ces expériences et de contribuer à la création d’espaces académiques et professionnels plus inclusifs.
Thomas est parfaitement bilingue en français et en anglais.
Maryam Abdelaal
Maryam Abdelaal entame sa troisième année en droit à l’Université d’Ottawa, où elle poursuit un double diplôme en Juris Doctor et en Licence en droit civil. Avant d’entreprendre ses études en droit, Maryam a obtenu un baccalauréat en médecine translationnelle et moléculaire à la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa. Elle a également complété un certificat en droit international public à l’Université Queen’s, où elle s’est penchée sur divers sujets, notamment le droit international humanitaire, le droit international des réfugiés, le droit pénal international et les institutions internationales.
L’intérêt de Maryam pour les droits humains s’est développé lors ses études de premier cycle, au cours desquelles elle a pris conscience que de nombreux résultats en matière de santé sont façonnés non seulement par des facteurs biologiques, mais également par des inégalités systémiques profondément enracinées. Elle a été marquée par l’impact de facteurs tels que la pauvreté, l’accès limité à l’éducation, l’insalubrité, l’insécurité alimentaire et la dégradation de l’environnement sur l’espérance de vie et la qualité de vie des populations. Cette prise de conscience, combinée à son engagement auprès d’étudiant·e·s réfugié·e·s sur le campus et à son travail communautaire auprès de jeunes issus de communautés ethnoculturelles à Ottawa, l’a amenée à concevoir les droits humains comme un prisme essentiel pour comprendre ces enjeux structurels ainsi qu’un outil concret pour les aborder.
Maryam a acquis une expérience professionnelle au Bureau du secrétaire du gouverneur général du Canada ainsi qu’à la Bibliothèque du Parlement. De 2022 à 2024, elle a occupé plusieurs rôles de leadership au sein du Comité local de l’Université d’Ottawa du Service universitaire mondial du Canada, où elle a contribué à l’accueil, au parrainage et à l’intégration d’étudiant·e·s réfugié·e·s, en plus de promouvoir l’accès à l’éducation et aux services de soutien sur le campus. À l’été 2025, Maryam effectuera un stage en droit de la propriété intellectuelle au sein du cabinet Borden Ladner Gervais S.E.N.C.R.L., avant d’occuper un poste d’auxiliaire juridique à la Cour fédérale en 2026.
Elle a également exercé plusieurs fonctions de représentation étudiante, notamment au sein de l’Association des étudiant·e·s musulman·e·s en droit de l’Université d’Ottawa et de l’Association étudiante du Programme de droit canadien. Elle est aussi membre du Comité consultatif ethnoculturel jeunesse du Bureau des services à la jeunesse.
À l’Observatoire, Maryam souhaite approfondir sa compréhension des droits humains grâce à un apprentissage interdisciplinaire et expérientiel. Elle est particulièrement enthousiaste à l’idée de mettre en pratique ses compétences juridiques aux côtés d’autres étudiant·e·s, de professionnel·le·s et de membres de la communauté. Elle valorise la richesse des perspectives diverses apportées par ses pairs et les intervenant·e·s du programme, et espère contribuer de manière significative aux initiatives de l’Observatoire. Pour elle, il s’agit d’une occasion unique de s’engager concrètement dans des enjeux réels et de faire progresser les droits humains dès les débuts de sa carrière juridique.
Les champs d’intérêt de Maryam se situent à l’intersection des droits humains, du droit de l’environnement, de la santé, des réfugiés et des peuples à disposer d’eux-mêmes. Maryam parle l’anglais, le français et l’arabe.
L’intérêt de Maryam pour les droits humains s’est développé lors ses études de premier cycle, au cours desquelles elle a pris conscience que de nombreux résultats en matière de santé sont façonnés non seulement par des facteurs biologiques, mais également par des inégalités systémiques profondément enracinées. Elle a été marquée par l’impact de facteurs tels que la pauvreté, l’accès limité à l’éducation, l’insalubrité, l’insécurité alimentaire et la dégradation de l’environnement sur l’espérance de vie et la qualité de vie des populations. Cette prise de conscience, combinée à son engagement auprès d’étudiant·e·s réfugié·e·s sur le campus et à son travail communautaire auprès de jeunes issus de communautés ethnoculturelles à Ottawa, l’a amenée à concevoir les droits humains comme un prisme essentiel pour comprendre ces enjeux structurels ainsi qu’un outil concret pour les aborder.
Maryam a acquis une expérience professionnelle au Bureau du secrétaire du gouverneur général du Canada ainsi qu’à la Bibliothèque du Parlement. De 2022 à 2024, elle a occupé plusieurs rôles de leadership au sein du Comité local de l’Université d’Ottawa du Service universitaire mondial du Canada, où elle a contribué à l’accueil, au parrainage et à l’intégration d’étudiant·e·s réfugié·e·s, en plus de promouvoir l’accès à l’éducation et aux services de soutien sur le campus. À l’été 2025, Maryam effectuera un stage en droit de la propriété intellectuelle au sein du cabinet Borden Ladner Gervais S.E.N.C.R.L., avant d’occuper un poste d’auxiliaire juridique à la Cour fédérale en 2026.
Elle a également exercé plusieurs fonctions de représentation étudiante, notamment au sein de l’Association des étudiant·e·s musulman·e·s en droit de l’Université d’Ottawa et de l’Association étudiante du Programme de droit canadien. Elle est aussi membre du Comité consultatif ethnoculturel jeunesse du Bureau des services à la jeunesse.
À l’Observatoire, Maryam souhaite approfondir sa compréhension des droits humains grâce à un apprentissage interdisciplinaire et expérientiel. Elle est particulièrement enthousiaste à l’idée de mettre en pratique ses compétences juridiques aux côtés d’autres étudiant·e·s, de professionnel·le·s et de membres de la communauté. Elle valorise la richesse des perspectives diverses apportées par ses pairs et les intervenant·e·s du programme, et espère contribuer de manière significative aux initiatives de l’Observatoire. Pour elle, il s’agit d’une occasion unique de s’engager concrètement dans des enjeux réels et de faire progresser les droits humains dès les débuts de sa carrière juridique.
Les champs d’intérêt de Maryam se situent à l’intersection des droits humains, du droit de l’environnement, de la santé, des réfugiés et des peuples à disposer d’eux-mêmes. Maryam parle l’anglais, le français et l’arabe.




Harleen Kaur Jawanda
Originaire d’Amritsar, au Pendjab, Harleen entame sa troisième année du double diplôme en Juris Doctor (J.D.) et en Licence en droit civil (LL.L.) à l’Université d’Ottawa. Elle est titulaire d’un baccalauréat ès arts avec concentration en science politique et mineure en histoire de l’Université de Saint-Boniface, au Manitoba.
L’intérêt de Harleen pour les droits humains et le droit international s’enracine dans son vécu personnel au carrefour de plusieurs cultures, ainsi que dans ses riches expériences de travail et de recherche en tant qu’étudiante.
Parmi ses nombreuses contributions, Harleen a mené des recherches approfondies sur l’implication des Nations Unies en matière environnementale, la persécution des Sikhs par l’État indien dans les années 1980, la régulation de l’intelligence artificielle au Canada et dans l’Union européenne dans une perspective comparative, les mesures législatives contre l’ingérence étrangère, ainsi que la laïcité au Québec. Elle a également agi comme ambassadrice de l’Université de Saint-Boniface et comme guide-interprète au sein de l’Assemblée législative du Manitoba.
Harleen est extrêmement reconnaissante de faire partie de l’Observatoire, où elle apporte une perspective personnelle aux discours internationaux sur la justice, l’égalité et l’avancement des droits humains. Cet été, elle mène des recherches sur les violations des droits humains subies par diverses communautés religieuses en Inde, en examinant le rôle du droit international, notamment la manière dont les Nations Unies réagissent face à ces violations et œuvrent à leur prévention.
Harleen a hâte d’échanger et collaborer avec des expert.e.s, pair.e.s et practicien.ne.s des droits humains afin de développer des idées et approches novatrices qui contribueront de manière significative aux initiatives en matière de droits humains. Harleen est multilingue et parle couramment l’anglais, le français, le pendjabi et l’hindi.
L’intérêt de Harleen pour les droits humains et le droit international s’enracine dans son vécu personnel au carrefour de plusieurs cultures, ainsi que dans ses riches expériences de travail et de recherche en tant qu’étudiante.
Parmi ses nombreuses contributions, Harleen a mené des recherches approfondies sur l’implication des Nations Unies en matière environnementale, la persécution des Sikhs par l’État indien dans les années 1980, la régulation de l’intelligence artificielle au Canada et dans l’Union européenne dans une perspective comparative, les mesures législatives contre l’ingérence étrangère, ainsi que la laïcité au Québec. Elle a également agi comme ambassadrice de l’Université de Saint-Boniface et comme guide-interprète au sein de l’Assemblée législative du Manitoba.
Harleen est extrêmement reconnaissante de faire partie de l’Observatoire, où elle apporte une perspective personnelle aux discours internationaux sur la justice, l’égalité et l’avancement des droits humains. Cet été, elle mène des recherches sur les violations des droits humains subies par diverses communautés religieuses en Inde, en examinant le rôle du droit international, notamment la manière dont les Nations Unies réagissent face à ces violations et œuvrent à leur prévention.
Harleen a hâte d’échanger et collaborer avec des expert.e.s, pair.e.s et practicien.ne.s des droits humains afin de développer des idées et approches novatrices qui contribueront de manière significative aux initiatives en matière de droits humains. Harleen est multilingue et parle couramment l’anglais, le français, le pendjabi et l’hindi.
Noël Kabeya
Noël Kabeya est chercheur et militant en droits humains originaire de la République démocratique du Congo. Il est actuellement en deuxième année de doctorat en droit à l’Université d’Ottawa. Il détient une maîtrise en droits humains de l’Université Grenoble Alpes (France), un diplôme universitaire en droit international humanitaire de l’Université Côte d’Azur (France), ainsi qu’une licence en droit de l’Université de Kinshasa (République démocratique du Congo).
Sa recherche doctorale porte sur l’accès à la justice pour les victimes de crimes internationaux dans des contextes post-conflit, avec des études de cas en République du Congo et la République centrafricaine. Adoptant une approche interdisciplinaire, il s’intéresse particulièrement aux modèles nationaux de lutte contre l’impunité pour ces crimes internationaux et au rôle des acteur.rice.s internationaux.ales dans la facilitation de l’accès à la justice pour les victimes.
Sur le plan professionnel, Noël a enseigné à temps plein à la Faculté de droit de l’Université libre de Kinshasa, où il a aussi représenté la faculté et formé l’équipe gagnante de la 16e édition du Concours africain de plaidoirie en droits humains à Dakar, Sénégal, organisée par le Centre des droits humains de la Faculté de droit de l’Université de Pretoria (Afrique du Sud) en collaboration avec l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal). Il a pratiqué comme avocat au barreau de Kinshasa/Gombe pendant plusieurs années et est actuellement assistant à la Faculté de droit de l’Université de Kinshasa.
En parallèle de son enseignement et de sa pratique juridique, Noël cumule plus de 15 ans d’expérience professionnelle auprès de diverses organisations de coopération au développement, où il a géré de projets et programmes axés sur la protection des droits humains, le soutien à la société civile, et le renforcement des capacités des institutions policières et judiciaires en RDC.
Chercheur et militant engagé des droits humains, Noël considère sa collaboration avec l’Observatoire comme une occasion d’approfondir ses connaissances, d’acquérir de nouveaux savoirs et de renforcer son expertise dans le système de protection des droits humains des Nations Unies. Cette collaboration lui offre également une plateforme précieuse pour partager ses expériences et élargir son réseau professionnel. Parmi ses intérêts en droits humains, il porte une attention particulière à la protection des personnes vulnérables en situation de conflit armé, notamment les femmes et les enfants.
Parmi ses distinctions, Noël a reçu plusieurs prix et bourses, notamment la Bourse d’excellence doctorale de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa, une bourse de maîtrise de la Fondation de l’Université Grenoble Alpes, une bourse du Centre international d’enseignement universitaire des droits de l’homme (CIEDHU) à Strasbourg, France, ainsi que le Prix Rotary Club de Kinshasa du meilleur étudiant de la Faculté de droit de l’Université de Kinshasa.
Noël Kabeya est francophone de langue maternelle et possède une maîtrise professionnelle de l’anglais.
Sa recherche doctorale porte sur l’accès à la justice pour les victimes de crimes internationaux dans des contextes post-conflit, avec des études de cas en République du Congo et la République centrafricaine. Adoptant une approche interdisciplinaire, il s’intéresse particulièrement aux modèles nationaux de lutte contre l’impunité pour ces crimes internationaux et au rôle des acteur.rice.s internationaux.ales dans la facilitation de l’accès à la justice pour les victimes.
Sur le plan professionnel, Noël a enseigné à temps plein à la Faculté de droit de l’Université libre de Kinshasa, où il a aussi représenté la faculté et formé l’équipe gagnante de la 16e édition du Concours africain de plaidoirie en droits humains à Dakar, Sénégal, organisée par le Centre des droits humains de la Faculté de droit de l’Université de Pretoria (Afrique du Sud) en collaboration avec l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal). Il a pratiqué comme avocat au barreau de Kinshasa/Gombe pendant plusieurs années et est actuellement assistant à la Faculté de droit de l’Université de Kinshasa.
En parallèle de son enseignement et de sa pratique juridique, Noël cumule plus de 15 ans d’expérience professionnelle auprès de diverses organisations de coopération au développement, où il a géré de projets et programmes axés sur la protection des droits humains, le soutien à la société civile, et le renforcement des capacités des institutions policières et judiciaires en RDC.
Chercheur et militant engagé des droits humains, Noël considère sa collaboration avec l’Observatoire comme une occasion d’approfondir ses connaissances, d’acquérir de nouveaux savoirs et de renforcer son expertise dans le système de protection des droits humains des Nations Unies. Cette collaboration lui offre également une plateforme précieuse pour partager ses expériences et élargir son réseau professionnel. Parmi ses intérêts en droits humains, il porte une attention particulière à la protection des personnes vulnérables en situation de conflit armé, notamment les femmes et les enfants.
Parmi ses distinctions, Noël a reçu plusieurs prix et bourses, notamment la Bourse d’excellence doctorale de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa, une bourse de maîtrise de la Fondation de l’Université Grenoble Alpes, une bourse du Centre international d’enseignement universitaire des droits de l’homme (CIEDHU) à Strasbourg, France, ainsi que le Prix Rotary Club de Kinshasa du meilleur étudiant de la Faculté de droit de l’Université de Kinshasa.
Noël Kabeya est francophone de langue maternelle et possède une maîtrise professionnelle de l’anglais.




Justine Pucar
Justine entame sa troisième année de licence en droit civil à l’Université d’Ottawa.
Son intérêt grandissant pour les droits humains et le droit international s’est solidifié lors de sa participation au cours de droits humains comparés : une perspective terrain au Palais des Nations à Genève, un moment marquant de son parcours académique.
Justine apporte à l’Observatoire un parcours riche et varié. Parmi ses diverses initiatives, elle a coorganisé et pris la parole lors d’un panel avec trois collègues, en collaboration avec le Centre d’étude et de coopération internationale, une organisation internationale œuvrant pour un développement durable et inclusif.
Au sein de la Faculté de droit, elle est activement impliquée dans la vie étudiante, occupant les postes de présidente de l’Association du droit de la santé et de vice-présidente mode pour le défilé de mode Fauteux. Passionnée de sport, elle joue actuellement au soccer avec le club de Inter Montréal.
À travers sa participation à l’Observatoire, Justine souhaite approfondir sa compréhension des droits humains dans un environnement stimulant qui l’incite à sortir de sa zone de confort. Elle est enthousiaste à l’idée d’apprendre des parcours inspirants et divers des membres de l’équipe et de ses pair.e.s afin de développer une perspective plus concrète, engagée et humaine sur les questions de droits fondamentaux.
Ses champs d’intérêt en matière de droits humains incluent le droit de la santé, le droit international humanitaire, ainsi que les droits des femmes et des enfants. Justine maîtrise parfaitement l’anglais et le français.
Son intérêt grandissant pour les droits humains et le droit international s’est solidifié lors de sa participation au cours de droits humains comparés : une perspective terrain au Palais des Nations à Genève, un moment marquant de son parcours académique.
Justine apporte à l’Observatoire un parcours riche et varié. Parmi ses diverses initiatives, elle a coorganisé et pris la parole lors d’un panel avec trois collègues, en collaboration avec le Centre d’étude et de coopération internationale, une organisation internationale œuvrant pour un développement durable et inclusif.
Au sein de la Faculté de droit, elle est activement impliquée dans la vie étudiante, occupant les postes de présidente de l’Association du droit de la santé et de vice-présidente mode pour le défilé de mode Fauteux. Passionnée de sport, elle joue actuellement au soccer avec le club de Inter Montréal.
À travers sa participation à l’Observatoire, Justine souhaite approfondir sa compréhension des droits humains dans un environnement stimulant qui l’incite à sortir de sa zone de confort. Elle est enthousiaste à l’idée d’apprendre des parcours inspirants et divers des membres de l’équipe et de ses pair.e.s afin de développer une perspective plus concrète, engagée et humaine sur les questions de droits fondamentaux.
Ses champs d’intérêt en matière de droits humains incluent le droit de la santé, le droit international humanitaire, ainsi que les droits des femmes et des enfants. Justine maîtrise parfaitement l’anglais et le français.
Mateo Alejandro Porras Gil
Né en Colombie et arrivé au Canada en tant que demandeur d’asile en 2010, Mateo Porras Gil est profondément passionné par le droit, la démocratie et l’engagement étudiant. Il poursuit actuellement une licence en droit à l’Université d’Ottawa.
Son intérêt pour les droits humains et le droit international, notamment le droit international humanitaire, est façonné par son vécu personnel et son engagement de longue date en faveur de la justice sociale, de la diversité et de la coopération interculturelle.
Mateo a précédemment travaillé à la Chambre des communes à titre de page, de guide parlementaire et d’adjoint parlementaire. Ces rôles lui ont permis d’acquérir une connaissance approfondie du processus législatif, de la recherche juridique et des procédures parlementaires.
Sur le campus, il occupe le poste de vice-président aux partenariats de l’Association des étudiant.e.s latino-américain.e.s en droit (ADELED), où il œuvre à tisser des liens entre les étudiant.e.s, les cabinets d’avocat.e.s et les entreprises afin de renforcer la représentation latino-américaine dans le domaine juridique. Il a également siégé à titre de directeur intérimaire au conseil d’administration du Syndicat étudiant de l’Université d’Ottawa (SÉUO), plaidant pour une gouvernance inclusive et transparente.
Dès le secondaire, Mateo s’est engagé dans le leadership étudiant, présidant le conseil étudiant de son école secondaire et représentant plus de 1 200 élèves dans l’élaboration de politiques éducatives favorisant l’apprentissage actif.
Musicien de formation, Mateo a été porte-parole et bénévole pour OrKidstra, avec qui il a eu l’honneur de se produire au Centre national des Arts à l’occasion du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale. Il est également sauveteur et moniteur en sécurité aquatique certifié par la Croix-Rouge canadienne.
Mateo est enthousiaste à l’idée de rejoindre l’Observatoire des droits humains afin d’approfondir sa compréhension du droit international des droits humains et de développer des compétences en recherche, en analyse et en prise de parole publique. Il voit cette expérience comme une occasion de renforcer son parcours académique, d’enrichir ses capacités professionnelles et de réaffirmer son engagement envers la défense des droits humains.
Mateo est trilingue en français, en anglais et en espagnol, et apprend actuellement le portugais. Parmi plusieurs distinctions, il a récemment été finaliste pour le prix Jeune leader en bénévolat décerné par Bénévoles Ottawa, une organisation qui célèbre des jeunes engagé.e.s dans la vie communautaire de la région.
Son intérêt pour les droits humains et le droit international, notamment le droit international humanitaire, est façonné par son vécu personnel et son engagement de longue date en faveur de la justice sociale, de la diversité et de la coopération interculturelle.
Mateo a précédemment travaillé à la Chambre des communes à titre de page, de guide parlementaire et d’adjoint parlementaire. Ces rôles lui ont permis d’acquérir une connaissance approfondie du processus législatif, de la recherche juridique et des procédures parlementaires.
Sur le campus, il occupe le poste de vice-président aux partenariats de l’Association des étudiant.e.s latino-américain.e.s en droit (ADELED), où il œuvre à tisser des liens entre les étudiant.e.s, les cabinets d’avocat.e.s et les entreprises afin de renforcer la représentation latino-américaine dans le domaine juridique. Il a également siégé à titre de directeur intérimaire au conseil d’administration du Syndicat étudiant de l’Université d’Ottawa (SÉUO), plaidant pour une gouvernance inclusive et transparente.
Dès le secondaire, Mateo s’est engagé dans le leadership étudiant, présidant le conseil étudiant de son école secondaire et représentant plus de 1 200 élèves dans l’élaboration de politiques éducatives favorisant l’apprentissage actif.
Musicien de formation, Mateo a été porte-parole et bénévole pour OrKidstra, avec qui il a eu l’honneur de se produire au Centre national des Arts à l’occasion du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale. Il est également sauveteur et moniteur en sécurité aquatique certifié par la Croix-Rouge canadienne.
Mateo est enthousiaste à l’idée de rejoindre l’Observatoire des droits humains afin d’approfondir sa compréhension du droit international des droits humains et de développer des compétences en recherche, en analyse et en prise de parole publique. Il voit cette expérience comme une occasion de renforcer son parcours académique, d’enrichir ses capacités professionnelles et de réaffirmer son engagement envers la défense des droits humains.
Mateo est trilingue en français, en anglais et en espagnol, et apprend actuellement le portugais. Parmi plusieurs distinctions, il a récemment été finaliste pour le prix Jeune leader en bénévolat décerné par Bénévoles Ottawa, une organisation qui célèbre des jeunes engagé.e.s dans la vie communautaire de la région.




Camille Bourque
Camille entame sa troisième année en droit civil à l’Université d’Ottawa. Tout au long de son parcours universitaire, elle s’est activement impliquée dans la vie étudiante. Elle a été présidente du Défilé Fauteux, qui a remporté le prix de l’Événement de l’année, en plus d’occuper des postes de leadership en tant que vice-présidente aux affaires internes du Comité sur la santé mentale, le bien-être et la réussite académique, ainsi que vice-présidente aux communications de l’Association de droit de la santé.
Cette année, Camille poursuivra son engagement au sein de l’Association des étudiant.e.s en droit civil à titre de conseillère à la présidence, tout en représentant l’Université d’Ottawa au prestigieux concours de plaidoirie Laskin.
Son intérêt pour les droits humains s’est développé au fil de ses études en droit, notamment à travers des cours portant sur l’autonomie reproductive, la violence fondée sur le genre et les inégalités systémiques. Ces expériences ont nourri son engagement envers les droits des femmes et sa volonté d’explorer le rôle du droit dans la lutte contre les injustices sociales.
Au sein de l’Observatoire, Camille contribue à un projet important mettant en lumière les expériences vécues par les femmes autochtones. Elle est particulièrement investie dans le développement d’une compréhension approfondie des réalités entourant la protection et la reconnaissance des droits humains.
Après l’obtention de son diplôme, Camille effectuera son stage du Barreau chez Norton Rose Fulbright à Québec.
Cette année, Camille poursuivra son engagement au sein de l’Association des étudiant.e.s en droit civil à titre de conseillère à la présidence, tout en représentant l’Université d’Ottawa au prestigieux concours de plaidoirie Laskin.
Son intérêt pour les droits humains s’est développé au fil de ses études en droit, notamment à travers des cours portant sur l’autonomie reproductive, la violence fondée sur le genre et les inégalités systémiques. Ces expériences ont nourri son engagement envers les droits des femmes et sa volonté d’explorer le rôle du droit dans la lutte contre les injustices sociales.
Au sein de l’Observatoire, Camille contribue à un projet important mettant en lumière les expériences vécues par les femmes autochtones. Elle est particulièrement investie dans le développement d’une compréhension approfondie des réalités entourant la protection et la reconnaissance des droits humains.
Après l’obtention de son diplôme, Camille effectuera son stage du Barreau chez Norton Rose Fulbright à Québec.
Béatrice Dufresne
Béatrice Dufresne entame sa troisième année de licence en droit (LL.L.) à l’Université d’Ottawa, où elle occupe actuellement le poste de présidente de l’Association des étudiant.e.s en droit civil.
Originaire d’Ottawa, elle est profondément passionnée par le droit constitutionnel et son rôle dans la protection des droits et libertés fondamentaux. Cette passion s’est manifestée très tôt et l’a menée à rédiger un mémoire sur la relation entre le féminisme et la démocratie canadienne dans le cadre du programme du Baccalauréat International au Collège Jean-de-Brébeuf, avant son admission à l’Université d’Ottawa.
Béatrice est également passionnée par l’art oratoire et le débat. Elle a travaillé comme guide parlementaire et a représenté sa faculté avec distinction lors du concours de plaidoirie Laskin. En tant que présidente du Comité de débat de la faculté, elle a joué un rôle clé dans la promotion d’un discours intellectuel dynamique au sein du corps étudiant. Cet été, Béatrice travaille au sein du cabinet McCarthy Tétrault, où elle effectuera son stage professionnel après l’obtention de son diplôme.
Béatrice est très enthousiaste de rejoindre l’Observatoire, voyant cette opportunité comme une occasion unique d’acquérir une expérience concrète dans le domaine des droits humains, sous la direction de membres inspirant.e.s. Animée par une passion pour le féminisme et le droit constitutionnel, elle souhaite approfondir sa compréhension des réalités vécues par les femmes autochtones. Béatrice souhaite mettre à profit sa créativité et ses solides compétences en communication pour contribuer de manière significative à la mission de l’Observatoire.
Depuis le début de ses études en droit, elle figure régulièrement sur la liste d’honneur de la doyenne. Elle a reçu deux prix pour avoir obtenu les meilleures notes dans les cours de Droit Constitutionnel ainsi qu’en Obligations I et II, de même qu’une distinction de l’Association des étudiant.e.s en droit civil en reconnaissance de son engagement dès sa première année. Béatrice maîtrise parfaitement l’anglais et le français.
Originaire d’Ottawa, elle est profondément passionnée par le droit constitutionnel et son rôle dans la protection des droits et libertés fondamentaux. Cette passion s’est manifestée très tôt et l’a menée à rédiger un mémoire sur la relation entre le féminisme et la démocratie canadienne dans le cadre du programme du Baccalauréat International au Collège Jean-de-Brébeuf, avant son admission à l’Université d’Ottawa.
Béatrice est également passionnée par l’art oratoire et le débat. Elle a travaillé comme guide parlementaire et a représenté sa faculté avec distinction lors du concours de plaidoirie Laskin. En tant que présidente du Comité de débat de la faculté, elle a joué un rôle clé dans la promotion d’un discours intellectuel dynamique au sein du corps étudiant. Cet été, Béatrice travaille au sein du cabinet McCarthy Tétrault, où elle effectuera son stage professionnel après l’obtention de son diplôme.
Béatrice est très enthousiaste de rejoindre l’Observatoire, voyant cette opportunité comme une occasion unique d’acquérir une expérience concrète dans le domaine des droits humains, sous la direction de membres inspirant.e.s. Animée par une passion pour le féminisme et le droit constitutionnel, elle souhaite approfondir sa compréhension des réalités vécues par les femmes autochtones. Béatrice souhaite mettre à profit sa créativité et ses solides compétences en communication pour contribuer de manière significative à la mission de l’Observatoire.
Depuis le début de ses études en droit, elle figure régulièrement sur la liste d’honneur de la doyenne. Elle a reçu deux prix pour avoir obtenu les meilleures notes dans les cours de Droit Constitutionnel ainsi qu’en Obligations I et II, de même qu’une distinction de l’Association des étudiant.e.s en droit civil en reconnaissance de son engagement dès sa première année. Béatrice maîtrise parfaitement l’anglais et le français.




Haylee Reid
Haylee Reid entame sa troisième année en droit civil à l’Université d’Ottawa.
Au cours de la dernière année, elle a occupé le poste de coprésidente du Défilé Fauteux, un événement caritatif qui célèbre la créativité, l’inclusion et l’engagement collectif au sein de la Faculté de droit. Elle a également été agente aux communications pour l’Association des étudiant.e.s en droit constitutionnel, où elle a contribué à l’organisation et à la promotion d’événements mettant en vedette des conférenciers et conférencières de renom.
Cette année, Haylee occupera le poste de vice-présidente aux affaires sociales de l’Association des étudiant.e.s en droit civil, s’efforçant de rassembler les étudiant.e.s et d’enrichir leur expérience universitaire par des initiatives inclusives et engageantes.
Haylee est animée par un profond engagement envers les droits de la personne, en particulier les droits des femmes et l’égalité des genres. Elle est passionnée par l’idée de mettre ses compétences au service de projets qui favorisent l’équité et la justice sociale, tant dans le domaine juridique qu’au-delà.
Au cours de la dernière année, elle a occupé le poste de coprésidente du Défilé Fauteux, un événement caritatif qui célèbre la créativité, l’inclusion et l’engagement collectif au sein de la Faculté de droit. Elle a également été agente aux communications pour l’Association des étudiant.e.s en droit constitutionnel, où elle a contribué à l’organisation et à la promotion d’événements mettant en vedette des conférenciers et conférencières de renom.
Cette année, Haylee occupera le poste de vice-présidente aux affaires sociales de l’Association des étudiant.e.s en droit civil, s’efforçant de rassembler les étudiant.e.s et d’enrichir leur expérience universitaire par des initiatives inclusives et engageantes.
Haylee est animée par un profond engagement envers les droits de la personne, en particulier les droits des femmes et l’égalité des genres. Elle est passionnée par l’idée de mettre ses compétences au service de projets qui favorisent l’équité et la justice sociale, tant dans le domaine juridique qu’au-delà.
Océane Chabanol
Dès sa première année en droit, Océane a eu l’incroyable opportunité de participer à la 88e session du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes aux Nations Unies, à Genève. À son retour, elle a démocratisé les connaissances acquises, en les partageant largement dans ses cercles académiques et sociaux.
Océane a acquis une solide expérience pratique auprès de divers tribunaux fédéraux et provinciaux. Elle a notamment travaillé au Tribunal canadien des droits de la personne, où elle a développé des compétences en recherche juridique et à la rédaction, ce qui a renforcé son désir de poursuivre un engagement dans le domaine des droits humains. Elle poursuit actuellement son apprentissage à titre d’assistante de recherche à la Cour suprême du Canada.
Son parcours témoigne d’un engagement constant à soutenir le travail juridique par la recherche et la rédaction. Pour Océane, rejoindre l’Observatoire représente une opportunité unique de s’impliquer activement dans un dialogue porteur de sens sur les droits humains, avec un accent particulier sur les droits des femmes autochtones. Cela reflète son engagement à transformer le savoir juridique en actions concrètes qui donnent une voix aux personnes marginalisées.
Océane fait preuve d’un engagement fort et durable en faveur de l’avancement des droits humains, notamment en ce qui concerne les droits des femmes et l’égalité des genres. Elle souhaite mettre son expertise au service d’initiatives visant à démocratiser le savoir et se réjouit de contribuer aux efforts de l’Observatoire pour sensibiliser le public et promouvoir une meilleure compréhension des enjeux sociétaux fondamentaux.
Océane est parfaitement bilingue, maîtrisant le français et l’anglais.
Océane a acquis une solide expérience pratique auprès de divers tribunaux fédéraux et provinciaux. Elle a notamment travaillé au Tribunal canadien des droits de la personne, où elle a développé des compétences en recherche juridique et à la rédaction, ce qui a renforcé son désir de poursuivre un engagement dans le domaine des droits humains. Elle poursuit actuellement son apprentissage à titre d’assistante de recherche à la Cour suprême du Canada.
Son parcours témoigne d’un engagement constant à soutenir le travail juridique par la recherche et la rédaction. Pour Océane, rejoindre l’Observatoire représente une opportunité unique de s’impliquer activement dans un dialogue porteur de sens sur les droits humains, avec un accent particulier sur les droits des femmes autochtones. Cela reflète son engagement à transformer le savoir juridique en actions concrètes qui donnent une voix aux personnes marginalisées.
Océane fait preuve d’un engagement fort et durable en faveur de l’avancement des droits humains, notamment en ce qui concerne les droits des femmes et l’égalité des genres. Elle souhaite mettre son expertise au service d’initiatives visant à démocratiser le savoir et se réjouit de contribuer aux efforts de l’Observatoire pour sensibiliser le public et promouvoir une meilleure compréhension des enjeux sociétaux fondamentaux.
Océane est parfaitement bilingue, maîtrisant le français et l’anglais.


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