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Nos Pilotes
Qui ils sont
Nos Pilotes estimés - un groupe de professionnel.les accompli.esissus de divers domaines qui agissent comme mentors et conseill.ers/ères auprès de l'Observatoire. Leur expertise et leurs conseils enrichissent notre approche interdisciplinaire et garantissent que notre travail reste ancré dans les réalités pratiques.
L'honorable Nicholas Kasirer
L’honorable Nicholas Kasirer a obtenu un baccalauréat en droit civil et en common law de l’Université McGill en 1985, après avoir obtenu un baccalauréat en arts de l’Université de Toronto. En 1986, il a complété un Diplôme d’études approfondies (3e cycle) en droit international de l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Après avoir été auxiliaire juridique de l’honorable Jean Beetz à la Cour suprême du Canada, il a été admis au Barreau du Québec en 1987.
De 1989 à 2009, l’honorable Kasirer a été professeur à la Faculté de droit de l’Université McGill, où il a enseigné dans diverses spécialités, notamment le droit des obligations, le droit des biens, le droit de la famille et le droit successoral et testamentaire, en droit civil et en common law. Il a également été professeur invité dans plusieurs universités, y compris l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit de l’Université McGill de 2003 à 2009.
L’honorable Kasirer a été titulaire de la chaire James McGill de 2002 à 2009 et directeur du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé de 1996 à 2003. Il est l’auteur de plus d’une centaine de publications traitant de domaines variés, dont le droit civil, le droit comparé et la jurilinguistique.
Depuis 1990, l’honorable Kasirer est secrétaire et membre du comité de rédaction du Dictionnaire de droit privé / Private Law Dictionary à la Faculté de droit de l’Université McGill. Il fait partie du comité éditorial de la Revue du Notariat, de la Revue de droit de l’Université de Sherbrooke, du Journal of Civil Law Studies de la Louisiana State University, de l'ISAIDAT Law Review de Turin (Italie) et de la Revue internationale de droit comparé à Paris.
En 2009, il a été nommé juge à la Cour d’appel du Québec. Durant les dix dernières années, il a rendu un grand nombre de jugements dans des domaines divers, tels que le droit privé, le droit pénal et le droit public y compris le droit constitutionnel.
Depuis 2006, il est membre titulaire de l’Académie internationale de droit comparé (Paris). En 2012, l’Université de Sherbrooke lui a décerné un doctorat honorifique en droit. En 2008, il a été élu comme membre de la Société royale du Canada.
L’honorable Nicholas Kasirer a été nommé juge à la Cour suprême du Canada le 16 septembre 2019.
De 1989 à 2009, l’honorable Kasirer a été professeur à la Faculté de droit de l’Université McGill, où il a enseigné dans diverses spécialités, notamment le droit des obligations, le droit des biens, le droit de la famille et le droit successoral et testamentaire, en droit civil et en common law. Il a également été professeur invité dans plusieurs universités, y compris l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit de l’Université McGill de 2003 à 2009.
L’honorable Kasirer a été titulaire de la chaire James McGill de 2002 à 2009 et directeur du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé de 1996 à 2003. Il est l’auteur de plus d’une centaine de publications traitant de domaines variés, dont le droit civil, le droit comparé et la jurilinguistique.
Depuis 1990, l’honorable Kasirer est secrétaire et membre du comité de rédaction du Dictionnaire de droit privé / Private Law Dictionary à la Faculté de droit de l’Université McGill. Il fait partie du comité éditorial de la Revue du Notariat, de la Revue de droit de l’Université de Sherbrooke, du Journal of Civil Law Studies de la Louisiana State University, de l'ISAIDAT Law Review de Turin (Italie) et de la Revue internationale de droit comparé à Paris.
En 2009, il a été nommé juge à la Cour d’appel du Québec. Durant les dix dernières années, il a rendu un grand nombre de jugements dans des domaines divers, tels que le droit privé, le droit pénal et le droit public y compris le droit constitutionnel.
Depuis 2006, il est membre titulaire de l’Académie internationale de droit comparé (Paris). En 2012, l’Université de Sherbrooke lui a décerné un doctorat honorifique en droit. En 2008, il a été élu comme membre de la Société royale du Canada.
L’honorable Nicholas Kasirer a été nommé juge à la Cour suprême du Canada le 16 septembre 2019.
Hilary Pearson
Hilary Pearson est la chancelière de l’Université Brock. Elle a fait carrière pendant vingt ans dans le domaine de la philanthropie des fondations au Canada. En tant que présidente fondatrice de Fondations philanthropiques Canada (FPC), poste qu’elle a occupé pendant près de dix-huit ans, Hilary a collaboré avec bon nombre des plus grandes fondations de bienfaisance privées au Canada. De nombreuses fondations familiales ont pu compter sur ses conseils stratégiques et sur son aide pour comprendre le secteur, établir leurs objectifs, mettre en place leur structure de gouvernance et définir leurs pratiques d’octroi de dons.
Auteure de nombreux articles et comptes rendus sur la philanthropie des fondations, Mme Pearson est souvent invitée à donner des conférences et à animer des ateliers au Canada et ailleurs dans le monde. Dans le cadre de ses fonctions chez FPC, elle a publié des guides détaillés sur l’établissement et la gestion d’une fondation, ainsi que des guides à l’intention des fondations qui collaborent avec les gouvernements et les universités et qui participent à des actions de plaidoyer relatives aux politiques publiques.
Mme Pearson a une très bonne connaissance des politiques fédérales qui régissent les organismes de bienfaisance. Elle est coprésidente du Comité consultatif sur le secteur des organismes de la bienfaisance, qui conseille le gouvernement fédéral sur les questions relatives aux orientations et à la réglementation. De 2012 à 2015, elle a siégé au Comité consultatif du gouverneur général sur le bénévolat et la philanthropie. En juillet 2018, elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada en reconnaissance de sa contribution à l’essor du secteur de la philanthropie au Canada. Mme Pearson a siégé à de nombreux conseils d’administration d’organismes sans but lucratif nationaux, dont les suivants Imagine Canada, The Stratford Shakespeare Festival of Canada, CARE Canada, Inspire et la Société canadienne du cancer. Elle est présidente du Conseil consultatif de l’Institut Coady de l’Université St. Francis Xavier et est membre du Comité consultatif du programme de maîtrise en philanthropie et en gestion d’organismes sans but lucratif offert à l’Université Carleton. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en économie politique de l’Université de Toronto, Mme Pearson a aussi reçu des doctorats honoris causa de l’Université Carleton, l’Université du Nouveau-Brunswick et l’Université Mount Allison.
Auteure de nombreux articles et comptes rendus sur la philanthropie des fondations, Mme Pearson est souvent invitée à donner des conférences et à animer des ateliers au Canada et ailleurs dans le monde. Dans le cadre de ses fonctions chez FPC, elle a publié des guides détaillés sur l’établissement et la gestion d’une fondation, ainsi que des guides à l’intention des fondations qui collaborent avec les gouvernements et les universités et qui participent à des actions de plaidoyer relatives aux politiques publiques.
Mme Pearson a une très bonne connaissance des politiques fédérales qui régissent les organismes de bienfaisance. Elle est coprésidente du Comité consultatif sur le secteur des organismes de la bienfaisance, qui conseille le gouvernement fédéral sur les questions relatives aux orientations et à la réglementation. De 2012 à 2015, elle a siégé au Comité consultatif du gouverneur général sur le bénévolat et la philanthropie. En juillet 2018, elle a été nommée membre de l’Ordre du Canada en reconnaissance de sa contribution à l’essor du secteur de la philanthropie au Canada. Mme Pearson a siégé à de nombreux conseils d’administration d’organismes sans but lucratif nationaux, dont les suivants Imagine Canada, The Stratford Shakespeare Festival of Canada, CARE Canada, Inspire et la Société canadienne du cancer. Elle est présidente du Conseil consultatif de l’Institut Coady de l’Université St. Francis Xavier et est membre du Comité consultatif du programme de maîtrise en philanthropie et en gestion d’organismes sans but lucratif offert à l’Université Carleton. Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en économie politique de l’Université de Toronto, Mme Pearson a aussi reçu des doctorats honoris causa de l’Université Carleton, l’Université du Nouveau-Brunswick et l’Université Mount Allison.
Dr Philip Jaffé
Après un premier mandat de quatre ans (2019-2022) comme Membre du Comité des droits de l’enfant, le professeur Philip D. Jaffé a été réélu pour la période 2023-2027. Son parcours professionnel est relativement complexe puisqu’il a suivi des formations supérieures tant en Suisse (Genève et Fribourg) qu'aux États-Unis (New York et Boston). Pendant une trentaine d'années, il a enseigné à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève. En 2008, il est devenu directeur de l'Institut universitaire Kurt Bösch (IUKB) à Sion (Valais) et responsable de la nouvelle unité d'enseignement et de recherche sur les droits de l'enfant.
Pendant plusieurs années, son équipe et lui-même ont réussi à intégrer l'IUKB à l'Université de Genève qui, en 2015, a créé un nouveau Centre d'études des droits de l'enfant (CIDE). Dr. Jaffé maintient à Genève une petite pratique privée en psychologie clinique et en psychologie légale qu’il considère comme un carburant essentiel pour ses activités d'enseignement. En effet, il enseigne toujours la psychologie juridique à l'Université de Genève. À plusieurs reprises, il a eu le privilège d'être appelé à effectuer des missions humanitaires pour de grandes institutions gouvernementales internationales dans plusieurs régions troublées du monde, comme le Caucase, l'Irak ou la province d'Aceh en Indonésie.
Pendant plusieurs années, son équipe et lui-même ont réussi à intégrer l'IUKB à l'Université de Genève qui, en 2015, a créé un nouveau Centre d'études des droits de l'enfant (CIDE). Dr. Jaffé maintient à Genève une petite pratique privée en psychologie clinique et en psychologie légale qu’il considère comme un carburant essentiel pour ses activités d'enseignement. En effet, il enseigne toujours la psychologie juridique à l'Université de Genève. À plusieurs reprises, il a eu le privilège d'être appelé à effectuer des missions humanitaires pour de grandes institutions gouvernementales internationales dans plusieurs régions troublées du monde, comme le Caucase, l'Irak ou la province d'Aceh en Indonésie.
Dre Dawn Memee Lavell-Harvard
Dawn Lavell Harvard, Ph.D., est fière d'appartenir à la Première Nation Wiikwemkoong, à l'Île Manitoulin. Elle est Directrice du First Peoples House of Learning à l'Université de Trent et ancienne présidente de l'Association des femmes autochtones du Canada et de l’Association des femmes autochtones de l'Ontario (2004-2015). Par ses travaux savants et ses conférences au Canada et à l’international, Dr. Lavell-Harvard contribue à rompre le cycle de la pauvreté chez les femmes autochtones et leurs familles au moyen de réformes de l’enseignement adaptées aux réalités culturelles. Elle a obtenu de nombreuses distinctions honorifiques, dont le prix “Spirit of Barbara Schlifer” 2018 en reconnaissance de sa lutte acharnée contre les violences vécues par les femmes autochtones. Elle préside le conseil d’administration de NIWEE (National Indigenous Women Entrepreneurs’ Ecosystem) et siège comme membre du conseil d’administration de la Fondation canadienne des femmes.
L'honorable Simon Ruel
L’honorable Simon Ruel a été nommé juge à la Cour d'appel du Québec le 21 juin 2017 après avoir été juge à la Cour supérieure du Québec de 2014 à 2017. Au cours de sa carrière d’avocat, il a exercé principalement en droit public, administratif et des affaires gouvernementales. Après avoir entamé sa carrière au cabinet Grey Casgrain à Montréal, il a été avocat plaidant et conseiller juridique au ministère de la Justice du Canada, au Bureau du Conseil privé et au ministère des Finances du Canada à Ottawa. Avant sa nomination à la Cour supérieure, il était associé au cabinet BCF Avocats d’affaires à Québec et auparavant au cabinet national canadien Heenan Blaikie. L’honorable Ruel a participé en tant que procureur à plusieurs enquêtes publiques et règlementaires fédérales et provinciales et a enseigné le droit public et administratif à l’École du Barreau du Québec et le droit de la preuve à l’Université d’Ottawa.
Président du Comité de la magistrature sur la sécurité de l’information (« COMSI ») et de la Section des juges de l’Association du Barreau canadien, l’honorable Ruel est membre puîné du Comité sur l’indépendance judiciaire du Conseil canadien de la magistrature et co-président du sous-comité sur les médias sociaux du Conseil. Il a été, comme avocat, conseiller auprès du Conseil concernant la réforme du processus disciplinaire des juges de nomination fédérale et, à titre de membre du Comité sur l’indépendance, a participé à la révision des Principes de déontologie judiciaire pour les juges fédéraux, mis à jour en 2021. L’honorable Ruel s’intéresse également au droit international. En 2014, il a participé à une mission internationale d’évaluation des mesures anti-corruption prises par la République d’Haïti pour le compte de Transparency International/Haïti, en prévision de la révision de la mise en œuvre par Haïti de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Il anime « Sous le feu », une série de Balados préparés par l’Institut canadien d’administration de la justice et donnant la parole à des spécialistes du droit international, du droit de la guerre, du droit humanitaire et du droit pénal international.
Président du Comité de la magistrature sur la sécurité de l’information (« COMSI ») et de la Section des juges de l’Association du Barreau canadien, l’honorable Ruel est membre puîné du Comité sur l’indépendance judiciaire du Conseil canadien de la magistrature et co-président du sous-comité sur les médias sociaux du Conseil. Il a été, comme avocat, conseiller auprès du Conseil concernant la réforme du processus disciplinaire des juges de nomination fédérale et, à titre de membre du Comité sur l’indépendance, a participé à la révision des Principes de déontologie judiciaire pour les juges fédéraux, mis à jour en 2021. L’honorable Ruel s’intéresse également au droit international. En 2014, il a participé à une mission internationale d’évaluation des mesures anti-corruption prises par la République d’Haïti pour le compte de Transparency International/Haïti, en prévision de la révision de la mise en œuvre par Haïti de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Il anime « Sous le feu », une série de Balados préparés par l’Institut canadien d’administration de la justice et donnant la parole à des spécialistes du droit international, du droit de la guerre, du droit humanitaire et du droit pénal international.
Dre Bessma Momani
Dre Bessma Momani est vice-rectrice associée aux relations internationales à l’Université de Waterloo et professeure titulaire au Département de sciences politiques. Elle est chercheuse principale au Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale (CIGI), chercheuse non résidente au Arab Gulf States’ Institute de Washington (D.C.) et boursière Fulbright. Elle a été vice-rectrice adjointe par intérim aux relations internationales à l’Université de Waterloo et fellow de la Fondation Pierre Elliott Trudeau (2015), et a auparavant agi à titre de chercheuse principale non résidente à la Brookings Institution et au Stimson Center à Washington (D.C.), en plus d’être chercheuse invitée au Mortara Center de l’Université Georgetown.
Récipiendaire de nombreux prix et subventions de recherche, Dre Bessma Momani a travaillé en tant que consultante auprès du Fonds monétaire international, tant au Bureau des communications qu’au Bureau d’évaluation indépendant. En tant qu’analyste des médias et analyste politique sur le Moyen-Orient, les affaires internationales et l’économie mondiale, Dre Bessma Momani commente régulièrement l’actualité dans le Globe and Mail et le New York Times, dans les revues Time, Newsweek et The Economist ainsi que dans le National Post et le Toronto Star. En outre, elle collabore fréquemment avec les médias et a donné des milliers d’entrevues en direct sur CNN, CBC News, CTV, Al Jazeera, CGTN, TRT World et BNN Bloomberg.
Récipiendaire de nombreux prix et subventions de recherche, Dre Bessma Momani a travaillé en tant que consultante auprès du Fonds monétaire international, tant au Bureau des communications qu’au Bureau d’évaluation indépendant. En tant qu’analyste des médias et analyste politique sur le Moyen-Orient, les affaires internationales et l’économie mondiale, Dre Bessma Momani commente régulièrement l’actualité dans le Globe and Mail et le New York Times, dans les revues Time, Newsweek et The Economist ainsi que dans le National Post et le Toronto Star. En outre, elle collabore fréquemment avec les médias et a donné des milliers d’entrevues en direct sur CNN, CBC News, CTV, Al Jazeera, CGTN, TRT World et BNN Bloomberg.
L'honorable Denis Paradis
Riche d’une expérience professionnelle et politique extrêmement prolifique, L’honorable Denis Paradis, C.P., Ad.E., a rejoint en 2006 le bureau Dunton Rainville en qualité d’avocat-conseil, où il exerce principalement dans les domaines administratif, corporatif et fiscal. Après avoir prêté serment au Barreau du Québec en 1976, l’honorable Paradis a exercé durant près de vingt ans au sein du cabinet Paradis et Associés, qu’il a également fondé. Durant cette période, l’honorable Paradis a aussi enseigné le droit agricole au Barreau du Québec. Élu vice-président du Barreau du Québec en 1992, puis Bâtonnier en 1993, l’honorable Paradis a, tout au long de sa carrière, constamment démontré la sincérité de son implication professionnelle ainsi que la volonté de défendre et promouvoir le rayonnement de la profession d’avocat.
L’implication de l’honorable Paradis s’est tout naturellement également révélée dans la sphère politique. Tout d’abord à un niveau local, l’honorable Paradis a été Député de Brome-Missisquoi au Parlement du Canada, puis à l’échelon national, il a eu la charge de trois portefeuilles ministériels entre 2002 et 2004, soit le Ministère d’État Amérique Latine et Afrique, le Ministère de la Francophonie ainsi que le Ministère d’État aux Institutions Financières. Résolument orienté vers l’international, Me Paradis a notamment fondé en 2008 l’Alliance d’Affaires Canada-Algérie et en est aujourd’hui le président. Il a également œuvré pour la Banque Interaméricaine de développement et la Banque Mondiale et a préparé le Sommet des chefs d’État de la Francophonie à Beyrouth.
L’implication de l’honorable Paradis s’est tout naturellement également révélée dans la sphère politique. Tout d’abord à un niveau local, l’honorable Paradis a été Député de Brome-Missisquoi au Parlement du Canada, puis à l’échelon national, il a eu la charge de trois portefeuilles ministériels entre 2002 et 2004, soit le Ministère d’État Amérique Latine et Afrique, le Ministère de la Francophonie ainsi que le Ministère d’État aux Institutions Financières. Résolument orienté vers l’international, Me Paradis a notamment fondé en 2008 l’Alliance d’Affaires Canada-Algérie et en est aujourd’hui le président. Il a également œuvré pour la Banque Interaméricaine de développement et la Banque Mondiale et a préparé le Sommet des chefs d’État de la Francophonie à Beyrouth.
Orlando Arriagada
Arrivé au Québec dans les années 90, Orlando Arriagada fait rapidement sa marque dans l’industrie télévisuelle à titre de producteur et d’homme d’affaires. En 1996, il fonde sa première compagnie, Al Dente Films, suivi de Tutti Frutti Films en 2003, qu’il vendra à FRV Média. En 2007, Pimiento voit le jour et a produit depuis près d’une trentaine de documentaires uniques et séries documentaires diffusées sur les ondes de Canal D, APTN, Ici Radio-Canada et Canal vie, pour ne nommer qu’eux, en plus de nombreuses créations pour les nouveaux médias. Comme réalisateur, on doit notamment à Orlando les documentaires Derrière le miracle, Miss inc., Au pif, la série Amérikologie, L’ADN du ceviche, sélectionné au 63e Festival international de San Sebastian dans la catégorie «Culinary Zinema» , La bataille de Nancy, et en 2021, la série voir la musique autrement et sa toute dernière production, le documentaire unique intitulé "La purge, LGBT, la sombre histoire" (diffusées le 16 septembre 2023 sur ICI Première) et qui a attiré toutes les attentions et qui a suscité un intérêt médiatique important.
Au fil des ans, il s’est impliqué dans plusieurs organismes, dont la Chambre de commerce latino-américaine du Québec et l’Association des producteurs de films et de télévision du Québec. Orlando Arriagada s’implique également pour la relève du cinéma et de la télévision, ayant entre autres créé la bourse d’études Pimiento permettant de couvrir les frais de scolarité de certains de ses employés, admis à L’inis. Il collabore également à de nombreuses reprises avec des festivals et organismes du milieu du cinéma et de la télévision, dont récemment avec Fantasia et le Festival du film black de Montréal. De 2019 à 2023, Orlando a opéré en tant que Professeur et Directeur du Master documentaire et du Lab de création documentaire à l'ESCAC (École supérieure du cinéma de Catalogne) à Barcelone.
Au fil des ans, il s’est impliqué dans plusieurs organismes, dont la Chambre de commerce latino-américaine du Québec et l’Association des producteurs de films et de télévision du Québec. Orlando Arriagada s’implique également pour la relève du cinéma et de la télévision, ayant entre autres créé la bourse d’études Pimiento permettant de couvrir les frais de scolarité de certains de ses employés, admis à L’inis. Il collabore également à de nombreuses reprises avec des festivals et organismes du milieu du cinéma et de la télévision, dont récemment avec Fantasia et le Festival du film black de Montréal. De 2019 à 2023, Orlando a opéré en tant que Professeur et Directeur du Master documentaire et du Lab de création documentaire à l'ESCAC (École supérieure du cinéma de Catalogne) à Barcelone.
Myrlande Pierre
Mme Myrlande Pierre est vice-présidente de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. Elle est notamment responsable du mandat confié à la Commission par la Charte des droits et libertés de la personne et la Loi sur l’accès à l’égalité en emploi dans des organismes publics. Mme Pierre est une experte reconnue à l’échelle nationale et internationale dans le domaine de l’immigration et de l’intégration socioéconomique et plus particulièrement de l’intégration socioéconomique des minorités racisées. Les questions de racisme et de discrimination systémiques, ainsi que les enjeux touchant les femmes des minorités ethnoculturelles et racisées constituent la pierre angulaire de ses travaux.
Sociologue de formation, sa carrière est également marquée par son engagement social. À cet égard, Mme Pierre fut nommée présidente de la Table sur la diversité, l’inclusion et la lutte contre les discriminations par la Mairesse de Montréal (mars 2018 à juin 2019). Elle a été membre d’un comité d’experts sur les communautés noires du Canada à Statistique Canada (2018 – 2019)· Ce comité a été appelé à définir des orientations et politiques relativement à la réalité et enjeux socioéconomiques des communautés noires du Québec et du Canada. Myrlande Pierre a obtenu plusieurs prix pour son implication à l’avancement des droits des femmes et des minorités racisées. Elle a notamment reçu en 2018, la Médaille de l’Assemblée nationale. Plus récemment, elle a reçu le Prix Opale Diversité (2020). En 2001, Mme Pierre reçoit le Prix Femme, politique et société pour son engagement communautaire et sa contribution à faire avancer les questions de participation et de représentation des femmes des minorités racisées dans les structures institutionnelles et démocratiques.
Sociologue de formation, sa carrière est également marquée par son engagement social. À cet égard, Mme Pierre fut nommée présidente de la Table sur la diversité, l’inclusion et la lutte contre les discriminations par la Mairesse de Montréal (mars 2018 à juin 2019). Elle a été membre d’un comité d’experts sur les communautés noires du Canada à Statistique Canada (2018 – 2019)· Ce comité a été appelé à définir des orientations et politiques relativement à la réalité et enjeux socioéconomiques des communautés noires du Québec et du Canada. Myrlande Pierre a obtenu plusieurs prix pour son implication à l’avancement des droits des femmes et des minorités racisées. Elle a notamment reçu en 2018, la Médaille de l’Assemblée nationale. Plus récemment, elle a reçu le Prix Opale Diversité (2020). En 2001, Mme Pierre reçoit le Prix Femme, politique et société pour son engagement communautaire et sa contribution à faire avancer les questions de participation et de représentation des femmes des minorités racisées dans les structures institutionnelles et démocratiques.
Dr Bernard Motulsky
Détenteur d’une maîtrise et d’un doctorat (Ph.D.) en philosophie, Dr. Bernard Motulsky est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les communications. Il possède une expérience de plus de trente ans dans le domaine de la communication et des relations publiques. Actuellement professeur au département de communication sociale et publique de l’UQAM, il a débuté sa carrière comme rédacteur et journaliste avant de devenir professeur de communication à l’Université Laval. Il a occupé par la suite plusieurs postes, en particulier au sein du Groupe Cossette, au gouvernement du Québec, à la Bourse de Montréal et à l’Université de Montréal. Il a été président du Conseil consultatif de régie administrative de l’Autorité des marchés financiers du Québec (AMF) entre 2005 et 2015 et président de la Société québécoise des professionnels en relations publiques (SQPRP) de 2014 à 2016.
Il est détenteur de plusieurs prix, dont la plus haute distinction de la Société québécoise des professionnels en relations publiques, le prix Yves St-Amand décerné en 2024. Souvent appelé à commenter l’actualité dans les médias, il est vice-président fondateur de l’Académie des controverses et de la communication sensible, basée à Paris. Il s’intéresse également aux enjeux de la migration et de l’identité et a publié en 2023 un livre sur la quête qu’il a menée sur son histoire familiale à travers les tourments de l’histoire.
Il est détenteur de plusieurs prix, dont la plus haute distinction de la Société québécoise des professionnels en relations publiques, le prix Yves St-Amand décerné en 2024. Souvent appelé à commenter l’actualité dans les médias, il est vice-président fondateur de l’Académie des controverses et de la communication sensible, basée à Paris. Il s’intéresse également aux enjeux de la migration et de l’identité et a publié en 2023 un livre sur la quête qu’il a menée sur son histoire familiale à travers les tourments de l’histoire.
Richard Thompson Ford
Professeur à la faculté de droit de l’Université Stanford, Richard T. Ford est un spécialiste des droits civils et du droit sur l’antidiscrimination. Il a acquis la réputation d’être une voix éclairée et un auteur percutant sur les questions de racisme et de multiculturalisme. Alliant critique sociale et analyse juridique, ses travaux portent sur les conflits sociaux et juridiques liés aux plaintes pour discrimination, les causes et les effets de la ségrégation raciale ainsi que l’utilisation des frontières territoriales comme instruments de régulation sociale.
Il publie tant pour les amateur.rice.s de lecture populaire que pour les universitaires et les juristes. Il a écrit pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle, le Christian Science Monitor, Vox, New York Daily News, Slate et a été chroniqueur pour The American Interest. Son plus récent livre, Dress Codes: How the Laws of Fashion Made History, a été traduit en cinq langues et a été sélectionné comme “Editor’s Choice Ted Talk” en 2021. Deux autres de ses livres, Rights Gone Wrong: How Law Corrupts the Struggle for Equality et The Race Card: How Bluffing About Bias Makes Race Relations Worse, ont été primés comme “livres marquants de l’année” par le New York Times. Il est aussi l’auteur des livres Racial Card: A Critique et Universal Rights Down to Earth. Richard T. Ford est membre de l’American Law Institute, membre fondateur de l’Academic Freedom Alliance et membre du conseil d’administration de l’Author’s Guild Foundation. Il a été professeur invité à l’Université Harvard, à l’Université Columbia, à l’Université Yale et a dispensé des formations dans 12 pays parmi 5 continents.
Il publie tant pour les amateur.rice.s de lecture populaire que pour les universitaires et les juristes. Il a écrit pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle, le Christian Science Monitor, Vox, New York Daily News, Slate et a été chroniqueur pour The American Interest. Son plus récent livre, Dress Codes: How the Laws of Fashion Made History, a été traduit en cinq langues et a été sélectionné comme “Editor’s Choice Ted Talk” en 2021. Deux autres de ses livres, Rights Gone Wrong: How Law Corrupts the Struggle for Equality et The Race Card: How Bluffing About Bias Makes Race Relations Worse, ont été primés comme “livres marquants de l’année” par le New York Times. Il est aussi l’auteur des livres Racial Card: A Critique et Universal Rights Down to Earth. Richard T. Ford est membre de l’American Law Institute, membre fondateur de l’Academic Freedom Alliance et membre du conseil d’administration de l’Author’s Guild Foundation. Il a été professeur invité à l’Université Harvard, à l’Université Columbia, à l’Université Yale et a dispensé des formations dans 12 pays parmi 5 continents.
Nadja Pollaert
Directrice générale de Médecins du Monde Canada depuis 2014, Nadja Pollaert a assumé divers postes de responsabilités et peut témoigner de plusieurs réalisations notables. En effet, elle a dirigé le Bureau international des droits des enfants, une organisation internationale non gouvernementale ayant un statut consultatif auprès du Conseil économique et social des Nations Unies. Chevronnée en matière de droits et de protection de l’enfant, elle a initié et mené des projets avec de multiples donateurs et partenaires dans plus d’une quinzaine de pays en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique centrale. Co-présidence du Réseau d’intervention humanitaire du Canada (HRN) de 2018-2020, Nadja Pollaert a été nommée au Conseil d’orientation du Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM) en 2009.
Par ailleurs, elle a coordonné pendant plusieurs années le Comité d’aide aux réfugiés, une organisation de défense des droits pour les demandeurs d’asile et les réfugiés du Canada. Décidée à contribuer à la défense des droits de la personne, elle s’est engagée dans plusieurs organisations à titre d’administratrice et de bénévole, dont la Maison Buissonnière, un organisme voué au développement social des enfants, la Coalition canadienne des droits de l’enfant, Paix durable et Amnistie internationale – section francophone. Politologue de formation, elle est diplômée en relations internationales de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP). Nadja détient également une maîtrise en relations internationales de l’Université de Montréal.
Par ailleurs, elle a coordonné pendant plusieurs années le Comité d’aide aux réfugiés, une organisation de défense des droits pour les demandeurs d’asile et les réfugiés du Canada. Décidée à contribuer à la défense des droits de la personne, elle s’est engagée dans plusieurs organisations à titre d’administratrice et de bénévole, dont la Maison Buissonnière, un organisme voué au développement social des enfants, la Coalition canadienne des droits de l’enfant, Paix durable et Amnistie internationale – section francophone. Politologue de formation, elle est diplômée en relations internationales de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP). Nadja détient également une maîtrise en relations internationales de l’Université de Montréal.
Jose Andres Egas Loaiza
M. Egas est le représentant du bureau multi-pays du HCR (l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés) à Panama. Il a rejoint le HCR il y a près de 20 ans à Luanda, en Angola. Depuis, il a travaillé pour le HCR dans plus d'une douzaine de bureaux dans plusieurs pays, dont l'Angola, le Brésil, la Colombie, le Myanmar, l'Iran, la Grèce et le Panama, ainsi qu'au siège du HCR à Genève. M. Egas a occupé divers postes, notamment celui de chef de divers bureaux locaux, de responsable des programmes et de la planification, de l'administration et des ressources humaines, ainsi que de la protection des réfugiés et des personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays. Il a participé aux processus de retour et de rapatriement, à la gestion de plusieurs situations d'urgence, à la coordination et à la représentation du HCR dans les processus interinstitutionnels des Nations unies et a travaillé dans la section des donateurs privés du HCR.
Avant d’arriver au Panama, M. Egas était directeur du programme de transformation de l'organisation (BTP) au siège du HCR à Genève et, auparavant, il était représentant du HCR au Brésil. M. Egas est citoyen équatorien et brésilien, marié et père de deux enfants. M. Egas est titulaire d'une licence en sociologie du développement de l'Université San Francisco de Quito/Equateur et du Kalamazoo College/USA et d'un master en études du développement de l'Institut d'études sociales de La Haye/Pays-Bas. Il parle anglais, espagnol et portugais.
Avant d’arriver au Panama, M. Egas était directeur du programme de transformation de l'organisation (BTP) au siège du HCR à Genève et, auparavant, il était représentant du HCR au Brésil. M. Egas est citoyen équatorien et brésilien, marié et père de deux enfants. M. Egas est titulaire d'une licence en sociologie du développement de l'Université San Francisco de Quito/Equateur et du Kalamazoo College/USA et d'un master en études du développement de l'Institut d'études sociales de La Haye/Pays-Bas. Il parle anglais, espagnol et portugais.
Agnès Gruda
Diplômée en Communications de l’université Concordia, Agnès Gruda a travaillé pendant 35 ans comme journaliste à La Presse où elle a oeuvré notamment comme éditorialiste, adjointe à la direction de l’information, reporter et chroniqueuse internationale. Elle a réalisé des reportages dans plus d’une trentaine de pays, incluant des zones de conflits telles que l’ex-Yougoslavie, le Proche-Orient, l’Ukraine et la Libye. Elle s’est intéressée particulièrement au conflit israélo-palestinien, aux mouvements migratoires et aux printemps arabes.
Cette expertise l'a amenée à rédiger une chronique internationale à Radio-Canada et à enseigner le journalisme international à l'Université de Montréal. Elle est membre du conseil d'administration du Centre d'études sur les médias et membre du jury du Fonds québécois de journalisme international.
Parallèlement à sa carrière de journaliste, elle a publié deux recueils de nouvelles, Onze petites trahisons, en 2010 (Prix Adrienne-Choquette et finaliste au Prix du Gouverneur général) et Mourir mais pas trop, en 2016.
Cette expertise l'a amenée à rédiger une chronique internationale à Radio-Canada et à enseigner le journalisme international à l'Université de Montréal. Elle est membre du conseil d'administration du Centre d'études sur les médias et membre du jury du Fonds québécois de journalisme international.
Parallèlement à sa carrière de journaliste, elle a publié deux recueils de nouvelles, Onze petites trahisons, en 2010 (Prix Adrienne-Choquette et finaliste au Prix du Gouverneur général) et Mourir mais pas trop, en 2016.
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